Quelques faits

Pour certain migrateur au vu du réchauffement climatique le printemps débute trop tôt dans les zone de reproduction où la source de nourriture abonde. Les conséquences peuvent nuire à l'élevage des jeunes et du nombre de jeunes à l'envol

Aujourd'hui avec les nombreux moyens de lecture sur les oiseaux et les moyens informatique L'idée de créer cet atlas où plutôt Oiseau de la Vallée de Joux avec comme intention que cet ouvrage serait à portée de tous le monde, je ne vais pas vous remplir la tête avec des textes où descriptions trop scientifique.
Depuis quelques années que je suis dans ce milieu ornithologique j'ai besoin de transmettre ma passion aux futures générations.
La situation de notre avifaune me soucie de l'évolution.
J'ai aussi envie de transmettre aux futures générations l'importance de notre avifaune sur notre planète et bien sûr par cet ouvrage celle de notre vallée.
Même difficile de tous reconnaître n'est pas une importance mais de se dire que chaque matin le rougequeue noir où la mésange, le merle vont continuer à chanter.
J'espère que cet ouvrage ouvrira les oreilles de quelques personnes qui lors de leur sortie du bureau où de l'usine rendra attentif à notre nature qui n'est pas sans l'ignorer une importance a notre quotidien.
Cette relation qui peut être affective contribue probablement à note équilibre de notre vie stressante, et quelque peu angoissante
Si l'envie de cet ouvrage c'est aussi de montrer une comparaison à l'ancienne publication de 40 ans. je suis dans ce monde depuis bien des années et bien sûr remarqué que la diminutions de certaines espèces était sans rester inactif.
Refaire une publication 40 ans plus tard paraît pas très logique...........
Lorsque l'on voit notre risoux franco suisse on a de quoi se soucier de l'avenir de notre avifaune .

Le phénomène que je décris est un enjeu majeur pour la conservation de la biodiversité. Alors que certaines espèces méridionales colonisent de nouveaux territoires, les espèces de haute altitude, comme le Lagopède alpin ou la Niverolle alpine, sont menacées car leur habitat de prédilection se rétrécit et se fragmente.
Cependant, il existe plusieurs espèces qui étendent leur aire de répartition vers le nord en Europe et prennent de l'altitude en Suisse en raison de la hausse des températures.

Espèce nicheuse rare

Bruant zizi ( Emberriza cirlus)

Normalement Inféodé aux vignes au plan national le Bruant zizi est pour la Vallée lié aux endroits sec parsemés de buissons il ne passe pourtant pas inaperçu avec son chant typique ressemblant au stidulations d'un insecte. Très peu fréquent à l'époque comme le montre la carte , aujourd'hui toujours présent dans la même zone Pourrait s'étendre sur le pourtour de la Vallée et au de la des pâturages
Pourrait se maintenir encore longtemps par un enherbement parsemé de buisson et quelques arbres qui lui sert aussi de perchoirs
probablement hivernant si les conditions pas trop enneigée.

Caille des blés (Coturnix coturnix)

La caille des blé n'étaient déjà pas très présente dans l'Ancien atlas a ce jour sa présence est difficile,ent audible dans toute la vallée de joux La pression des alpage et surtout les abord de l'Orbe est devenu trop intensif pour une présence
Si les effectif étaient déjà faible il est difficile de reconquérir une population stable La plus part nocturne mais aussi de jours ce petit gallinacé peut s'entendre jusqu' a plus d'un demi km.
C'est de mi-mai jusqu'a fin juillet que cet oiseaux vit caché dans une végétation haute. Pour cela il est très difficile de la distinguer.
Nicheur au sol tapis dans une petite touffe de végétation elle se nourrit de graine et de petits insectes
Aucune preuve de nidification à pu être prouvée jusqu'a ce jour. La vulnérabilité de nicheur est soumis par des fauches trop précoce et est bien sûr soumis par la prédation

La Caille des Blés : Une Voix Nocturne Menacée
Vous décrivez très bien la situation précaire de la Caille des Blés (Coturnix coturnix), un petit gallinacé dont le statut de nicheur est extrêmement fragile dans des régions comme la Vallée de Joux, notamment à cause de l'intensification agricole.

Voici une synthèse de son statut et des défis liés à sa présence :

Statut de Présence et Rareté
Statut historique : Déjà peu présente dans l'Ancien atlas.

Statut actuel : Sa présence est difficilement audible dans toute la Vallée de Joux.

Difficulté de reconquête : Les effectifs étant déjà faibles, il est très difficile d'établir ou de reconquérir une population stable.

Preuve de nidification : À ce jour, aucune preuve de nidification n'a pu être établie dans la zone concernée.

Caractéristiques et Habitat
Comportement : La Caille est un oiseau majoritairement nocturne mais qui peut aussi être entendue de jour.

Identification : On la distingue surtout par son chant (ou chant de parade), un cri sonore et répétitif qui peut s'entendre jusqu'à plus d'un demi-kilomètre.

Période d'audition : De mi-mai jusqu'à fin juillet.

Nourriture : Elle se nourrit de graines et de petits insectes.

Habitat : Elle vit cachée dans une végétation haute pour se dissimuler, rendant son observation très difficile.

Nidification et Menaces
Mode de nidification : C'est un nicheur au sol, le nid étant une petite cuvette tapissée au sein d'une touffe de végétation.

Pression environnementale : La pression des alpages (pâturage intensif) et surtout des abords de l'Orbe (dans votre cas) est devenue trop intensive pour permettre une présence durable et une nidification réussie.

Vulnérabilité : La vulnérabilité du nicheur est soumise à deux facteurs principaux :

Fauches trop précoces : Les pratiques agricoles intensives (coupes répétées et rapides) détruisent les couvées ou empêchent les jeunes de prendre leur envol.

Prédation : La vulnérabilité des nids au sol augmente le risque de prédation (renards, corneilles, etc.).

La Caille des Blés est emblématique des espèces des plaines agricoles qui ne trouvent plus d'habitat suffisant et non perturbé, la conduisant à une quasi-disparition dans les zones d'exploitation intensive.

Le fait qu'elle soit plus audible que visible complique le recensement précis. Avez-vous noté une année où les chants étaient plus nombreux ou audibles que d'autres récemment ?

Cassenoix moucheté (Nucifraga caryocatactes)

Pour le cassenoix moucheté à la Vallée de joux L'exploitation intensive de nos forêts peux rendre des sources de nourritures difficile
le peu d'effectif à l'époque du premier atlas peu être un indice de sa disparition.
les quelques donnée ressente donne un indice que sa présence est toujours d'activité
le petit noyaux ne donne pas d'espoir que cette petite population ne risque pas de s'étendre
les quelques données d'observation
les sous bois où poussent sa source de nourriture mette difficilement plusieurs années à se réégénèrer
discret le premier contact sera par son cri rauque émis surtout si l'oiseau est dérangé
rarement vu cet oiseau se nourrir de noisettes

Observation hivernale

Statut de protection

Le Cassenoix Moucheté à la Vallée de Joux : Un Corvidé Sédentaire sous Pression
Le Cassenoix moucheté (Nucifraga caryocatactes) est un oiseau forestier remarquable, connu comme le "forestier à plumes" en raison de son rôle essentiel de disséminateur de graines. Les informations que vous fournissez mettent en lumière les défis spécifiques qu'il rencontre dans un environnement comme la Vallée de Joux, marqué par l'exploitation forestière.

Identification et Comportement
Caractéristique Détail
Identification (Son) Très discret en général. Le premier contact est souvent son cri rauque et sonore, émis principalement s'il est dérangé.
Observation alimentaire Rarement vu se nourrir de noisettes (bien que son nom l'indique, c'est un aliment crucial qu'il cache). Dans les Alpes, il privilégie les graines de pins cembros (aroles), mais dans le Jura, il dépend fortement des noisettes (coudriers).
Statut migratoire Sédentaire (présent toute l'année, mais peut effectuer des déplacements altitudinaux ou de courte distance en fonction des ressources).
Observation hivernale Oui. Il vit l'hiver grâce à ses réserves cachées.

Exporter vers Sheets
Enjeux et Menaces (Vallée de Joux)
Les menaces pour le Cassenoix moucheté sont directement liées à la gestion des forêts :

Exploitation Forestière Intensive : L'exploitation intensive des forêts peut rendre les sources de nourriture difficiles d'accès et détruire les sites de mise en réserve.

Régénération Lente des Ressources : Les sous-bois où poussent ses principales sources de nourriture (comme les noisetiers, cruciaux dans les forêts jurassiennes où les aroles sont absents ou rares) mettent difficilement plusieurs années à se régénérer après une coupe. Cela réduit durablement la fructification et donc sa capacité à constituer des réserves.

Disponibilité Hivernale : Pour survivre à l'hiver, le Cassenoix se fie à sa mémoire exceptionnelle pour retrouver ses milliers de caches de graines (noisettes ou pignons) qu'il a enterrées. Si les récoltes sont insuffisantes en automne, sa survie hivernale est compromise.

Statut de Protection
Le Statut de protection se concentre sur la gestion forestière :

Maintenir des zones de noisetiers : La présence de noisetiers est essentielle dans le Jura (comme la Vallée de Joux) pour assurer la nourriture.

Encourager la régénération naturelle : Une gestion forestière moins intensive et plus douce est nécessaire pour permettre la régénération des sous-bois et des arbustes nourriciers.

Protection de l'habitat : Dans les zones alpines, il est surtout un disséminateur de l'Arole, et sa protection passe par la conservation des arollières. En Vallée de Joux, sa survie est liée aux peuplements de résineux (pour le nid) et aux ressources en noisettes/pignons (pour les réserves).

Bien que le Cassenoix moucheté ne soit pas actuellement classé comme menacé au niveau national en Suisse (il est classé LC - Préoccupation mineure), votre observation montre qu'il est localement vulnérable dans la Vallée de Joux, notamment par la gestion des ressources forestières et la pression exercée sur ses sources d'alimentation.

Gallinule poule d'eau (Gallinula chloropus)

ce gallinacé souvent confondu avec la foulque et vice versa la Gallinule poule d'eau nicheuse au sol ce petit gallinacé ne niche pas systématiquement à la Vallée.
Très discrète et liée au roselière le niveau d'eau et probablement le facteur lié au succès de sa nidification
Il très rare de prouvé sa nidification tant que le niveau d'eau reste très haut. On peut après courant l'été trouver un ou quelques jeunes en balades en bordure de roseaux
rien ne prouve que ces oiseaux sont nicheur sur notre lac. l'Orbe qui relie nos deux lacs peut facilité le déplacement de cet oiseau
La Gallinule Poule d'eau : Une Nicheuse Discrète
Vous décrivez parfaitement la Gallinule Poule d'eau (Gallinula chloropus), un petit gallinacé aquatique souvent confondu avec la Foulque macroule !

Voici une synthèse des points que vous avez soulevés, notamment en ce qui concerne sa nidification délicate :

Caractéristiques et Habitat
Confusion fréquente : Elle est souvent confondue avec la Foulque macroule (bien que cette dernière soit plus grande, avec un bouclier frontal blanc plus proéminent).

Mode de nidification : C'est un oiseau nicheur au sol.

Habitat privilégié : Elle est très liée aux roselières pour se cacher et nicher.

Comportement : Elle est particulièrement discrète, ce qui rend son observation difficile.

Facteurs de Nidification et Observation
Facteur clé : Le niveau d'eau est probablement le facteur le plus important pour le succès de sa nidification.

Difficulté de preuve : Il est très rare de pouvoir prouver sa nidification lorsque le niveau d'eau reste très haut, car les nids au sol sont plus facilement inondés ou moins accessibles.

Observation des jeunes : C'est surtout plus tard dans l'été qu'il est possible de trouver un ou quelques jeunes se promenant en bordure de roseaux.

Mobilité et Dispersion (Lac/Orbe)
Mobilité : La Gallinule ne niche pas systématiquement dans toutes les zones du lac (la Vallée, dans votre cas).

Déplacement : Le cours d'eau comme l'Orbe, qui relie les deux lacs, peut faciliter le déplacement de ces oiseaux entre différents habitats.

Statut incertain : Comme vous le notez, même si l'on voit des adultes ou des jeunes, rien ne prouve de manière définitive qu'un individu ou une famille soit un nicheur permanent sur un lac donné, car ils peuvent se déplacer d'un plan d'eau à l'autre via les cours d'eau.

Il est clair que pour cette espèce, la stabilité du niveau d'eau est essentielle pour que le nid au sol puisse arriver à terme.

Avez-vous observé des différences de comportement ou de présence de la Gallinule Poule d'eau par rapport à la Foulque Macroule dans votre région ?

Choucas des tours

Quelques individus sont aperçu dans le secteur, et un rare essai de nidification en 2024 dans un trou de support de grue.
Inféodé habituellement au cavité de pic noir et pour les nichoirs posé à proximité d'espaces ouvert pour la recherche de nourriture.
Classé en liste rouge
Description : C'est le plus petit des corvidés "noirs" indigènes en Europe. Son plumage est noir, mais sa nuque est grise et ses yeux sont remarquablement pâles (gris-bleu clair) chez l'adulte.

Nom : Son nom vient du fait qu'il aime nicher dans les cavités des vieux bâtiments, des clochers, des cheminées, des tours, mais aussi des falaises ou des arbres creux.

Vocalisation : Contrairement à la corneille ou au corbeau freux, il ne croasse pas mais émet un cri caractéristique, souvent décrit comme un « kiak » ou un « tchiow » sonore.
Le Choucas des tours (Coloeus monedula) est un oiseau fascinant, le plus petit de la famille des corvidés (qui inclut aussi les corbeaux et les corneilles).

Identification : Il a un plumage noir avec une nuque et le cou gris clair. Le trait le plus distinctif est son iris pâle, presque blanc ou bleu-ciel, qui contraste fortement avec son plumage sombre. Sa taille est celle d'un pigeon environ, beaucoup plus petit que la corneille noire ou le corbeau freux.

Habitat : Comme son nom l'indique, il est souvent associé aux constructions humaines, nichant dans les cavités, les falaises, les clochers d'églises, les ruines, ou même les cheminées. Il apprécie également les zones dégagées comme les champs et les prairies pour se nourrir.

Comportement : C'est un oiseau grégaire et très social, vivant en groupes qui peuvent se mélanger avec d'autres corvidés (corneilles, freux). Les choucas forment des couples monogames fidèles pour la vie. Il est connu pour son intelligence remarquable, comme les autres corvidés.

Alimentation : Il est omnivore. Son régime alimentaire est varié : insectes, vers, mollusques, œufs, oisillons, graines, fruits, et, en milieu urbain, les déchets alimentaires.

Cri : Contrairement aux corbeaux, le Choucas ne croasse pas. Il émet des cris sonores et répétés comme des "kiah kiah kiah" ou des "tchak-tchak-tchak".

C'est une espèce largement répandue en Europe, en Asie occidentale et en Afrique du Nord. Les populations des régions les plus froides peuvent être migratrices, mais beaucoup sont sédentaires.

Goéland leucophée

Omnivore , se laridé aussi grand qu'une buse à tenté et probablement va renouveler sa nidification
Avec son cri rauque que l'on reconnaît facilement, et à ne pas confondre avec la mouette ce prédateur avec son bec fort est présent toute l'année.
Les possibilités de nicher sur notre lac, ne sont pas exclus en dehors de notre bord de lac

Gobemouche noir (Ficedula hypoleuca)

Autrefois et seulement aperçu en migration le gobemouche noir est devenu un nicheur rare à nos altitudes
le réchauffement climatique le fait se déplacer et surtout s'adapter au conditions d'altitudes.
Le secteur d'altitude mais difficile par sa baisse d'effectif en suisse,
Le climat du lac peut lui servir de source de nourriture et par la fuite de la plaine
L'altitude peux lui permettre de mieux s'adapter au rythme de l'éclosion des chenilles
Il se pourrait qu'une concurrence avec les autres insectivore cavicoles se manifeste.
la conservation de cet oiseau, qui nous revient lentement serai d'éviter de trop rendre nos forêt en essence trop jeunes et de laisser les vieux arbres à cavités
les nichoirs peuvent lui donner un coup de pouce
Migration: Afrique occidentale
présence hivernale: Aucune
Statut de protection: moins d'insecticide et polluant dans nos jardin et en bordure de lac.

Le Gobemouche Noir : Un Nicheur Alpin Face au Changement Climatique
Le Gobemouche noir (Ficedula hypoleuca) est un excellent exemple des défis rencontrés par les espèces migratrices face aux modifications rapides de leur environnement de reproduction.

Votre description met en lumière les enjeux cruciaux liés à son statut de nicheur en altitude et aux impacts du réchauffement climatique.

Statut et Déplacement en Suisse
Ancien statut : Autrefois, l'espèce était principalement aperçue en migration.

Nouveau statut : Il est maintenant devenu un nicheur rare à vos altitudes, marquant une expansion de son aire de répartition vers l'ouest et vers le haut en Suisse romande, notamment dans le Nord Vaudois (régions de Baulmes, rive nord du lac de Neuchâtel) à partir de la deuxième moitié du XXe siècle.

Déclin récent : Malgré cette expansion, les effectifs nicheurs en Suisse ont chuté de manière importante dans certaines populations ces dernières années, soulignant sa fragilité.

Le Rôle du Réchauffement Climatique
Déplacement en altitude : Le réchauffement climatique le pousse à se déplacer vers des altitudes où il peut mieux s'adapter au rythme de l'éclosion des chenilles (sa principale nourriture pour les jeunes).

Phénologie des chenilles : Les chenilles, qui constituent l'essentiel de l'alimentation des oisillons, éclosent plus tôt dans les régions de plaine. Le Gobemouche, dont le retour de migration (Afrique occidentale) est génétiquement programmé, arrive souvent trop tard dans les zones basses pour profiter du pic d'abondance alimentaire.

Altitude comme refuge : L'altitude, où le décalage entre l'arrivée de l'oiseau et l'éclosion des insectes est moins prononcé ou plus favorable, peut temporairement lui permettre de mieux synchroniser sa reproduction avec la disponibilité des proies.

Facteurs locaux : Le climat du lac peut localement servir de source de nourriture (insectes) et être utilisé comme alternative suite à la fuite de la plaine.

Menaces et Conservation
Concurrence : Une concurrence avec d'autres insectivores cavicoles (comme les Mésanges charbonnières, qui s'installent plus tôt dans l'année) se manifeste souvent pour les cavités de nidification, réduisant ses chances de reproduction.

Habitat et conservation : La conservation de cet oiseau passe par :

Laisser les vieux arbres à cavités : Il est crucial d'éviter de trop rendre nos forêts en essences trop jeunes (coupes trop régulières) et de maintenir les vieux arbres qui offrent les cavités naturelles indispensables à sa nidification.

Les nichoirs : Les nichoirs spécifiques sont un coup de pouce très efficace pour compenser le manque de cavités, et sont un facteur qui a prouvé favoriser son établissement et son maintien, même si les populations actuelles restent fragiles.

Protection des ressources : Réduire les insecticides et polluants dans les jardins et en bordure de lac est essentiel pour garantir la profusion d'insectes dont il se nourrit.

Caractéristique Détail
Migration Afrique occidentale (ou sud du Sahara)
Période de présence Printemps et été (arrive en avril, départ en août-octobre)
Présence hivernale Aucune
Nourriture des jeunes Chenilles (principalement), Hyménoptères, Diptères, Coléoptères
Statut de protection Maintenir les vieux arbres à cavités ; Limiter l'usage des insecticides et polluants.

Pigeon collombin

Cette espèce la moins connue de pigeons car bien craintif et se montre bien plus discret que ces cousins. lié au cavité de pic noir pour élevé sa nichée plusieurs fois annuellement il dépend de milieu forestier, car
ce pigeon migre en Afrique du Nord pendant l'hiver.

Grèbe à cou noir

ce petit grèbe aussi discret que son cousin le grèbe castagneux aime les grandes roselières de lac où marais
l'effectif de la vallée de joux est insignifiable
Le grèbe à cou noir peux aussi être aperçu en hiver sur notre lac mais avec un plumage complétement mué.
Il va aussi se distingué par son oeil rouge
Se nourrissant de petit poisson est aussi petits insectes

Grimpereau des jardins (Certhia Brachydactyla)

Locustelle tachetée

d'ou son nom latin Locustella similitude du chant d'une grosse sauterelle. difficile a capter par son milieu embroussaillé et dense elle se manifeste la plupart du temps à la tombée du jour, et même en pleine nuit.
Elle aime les zones humides et niche au sol sous une grosse touffe d'herbe
La Vallée de Joux pourrait abriter plusieurs couples

Nette rousse ( Netta rufina)

Très reconnaissable par sa tête rousse et son bec rouge la nette rousse n'était que de passage à la Vallée de joux, depuis, la situation s'est améliorée sur nos grands lacs par les mauvaises conditions aux sud de l'Europe
Dans la remontée des individus quelques couples font halte chez nous et trouve parfois des conditions pour nidifier.
Il arrive aussi ques des nids abandonnés soit reprit par notre abondant colvert. ce dernier bien plus grégaire à profité de ses qualités de chasseur à faire abandonné la femelle de nette rousse et profitera d'un nids déjà construit et ne se gênera pas de continué à couver l'oeufs abandonné par la nette rousse.
La nette rousse commence à nicher sur notre plan d'eau par cette végétation plus dense
Migration:

Pic épeichette

Pic mar

Râle des genêts

Ce rallidé mène une vie très discrète
Impossible de l'apercevoir au vu de son milieu en prairie extensive Sont chant monocorde s'entend de très loin. Sans son chant nocturne ressemblant à une crécelle jamais on ne saurait que cet oiseaux arrivé de l'Afrique en début mai est présent.
Nicheur au sol avec une seule ponte annuelle
Son chant peu aussi être entendu en plein jours pour bien marque son territoire est attirer la femelle au nid les deux adultes construise ( a vérifier)ensemble la cupule bien abritée des prédateurs.
Par grande protection aucune carte n'est disponible
des mesures doivent être prises auprès des paysans pour une protection contre le bétail et les fauches

Roselin cramoisi

le seul migrateur qui ne descend pas en Afrique et qui nous reviens

Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos)

le Rossignol philomèle chanteur nocturne en début de nidification est bien une espèce dont l'aire de nidification s'étend progressivement vers le nord et en altitude en raison du réchauffement climatique.

Plusieurs études et observations confirment ce phénomène d'une montée en altitude : Le Rossignol philomèle est traditionnellement un oiseau des basses altitudes, ne nichant généralement pas au-delà de 600 mètres en Suisse, bien que des cas aient été observés jusqu'à 1 000 mètres en Valais, une région au climat plus clément. Les températures plus chaudes dans les vallées permettent à l'espèce de s'établir dans des zones qui étaient auparavant trop froides pour elle.

Expansion géographique : L'espèce est connue pour coloniser de nouveaux territoires en Europe du Nord, par exemple en Grande-Bretagne. Ce mouvement est un des exemples les plus clairs de l'impact des changements climatiques sur la répartition de la faune.

Adaptation des habitats : L'oiseau privilégie les habitats denses et humides comme les forêts alluviales et les sous-bois bien développés. Si ces habitats sont présents dans votre vallée, il est tout à fait possible qu'il s'y installe à l'avenir, surtout si les températures moyennes continuent d'augmenter.

En résumé, si les conditions de son habitat sont favorables, il y a de fortes chances que le chant mélodieux du Rossignol puisse devenir une présence plus régulière dans votre vallée.

Migration: Afrique occidentale
présence hivernale: aucune
Statut de protection: Améliorer les zone buissonnante et offrir des zones à nourritures

Rousserolle turdoïde (Acrocephalus arundinaceus)

La Rousserolle turdoïde est la plus grande des rousserolles européennes.

Chant :Si une voix forte et grinçante s'élève des roseaux c'est bien notre plus grande rousserolle il est bien audible et se distingue bien de ses cousines nichant à dans le secteur.

Habitat : La Rousserolle turdoïde est un spécialiste des vastes roselières denses. Contrairement à ses cousines comme la Rousserolle effarvatte, qui peuvent se contenter de petites parcelles, elle a besoin de grandes surfaces de roseaux pour s'installer.

Nidification difficile à prouver : Sa nature discrète et son habitat dense rendent son observation et la preuve de sa nidification difficiles.

Présence sporadique : Elle est considérée comme un nicheur rare et localisé en Suisse et en France, sa présence étant souvent sporadique et limitée à des zones bien spécifiques.

Statut de protection: sa présence est un indicateur de la bonne santé des écosystèmes de zones humides. Sa conservation dépend de la préservation de ces grandes roselières, souvent menacées par l'urbanisation ou l'assèchement des zones humides.

Torcol fourmilier( Jynx torquilla)

D'une couleur écorce le premier contact sera son chant nasiar . Le seul oiseaux qui ne grimpe pas au arbres et qui ne creuse pas ses cavités est le seul passereaux de la famille des picidés. Par des projets de conservation on arrive à maintenir sa population par non seulement laisser des arbres morts avec habitat et cavités naturelles creusées par les pics et la pose de nichoirs.
Cet oiseaux devenu plus fréquent et le seul migrateur de la famille des pics. de l'ancien atlas ce migrateur était aperçu que de passage. le réchauffement climatique provoque une montée dans nos régions il se nourrit de fourmis comme son nom l'indique.
Il a tendance aussi à prédaté des occupants de cavités qu'il désir pour élever sa progéniture.
La population suisse est de

Migration: Afrique du Nord
présence hivernale: Aucune
Statut de protection: Laisser de vieux arbres morts et moins d'intensification des prairies et jardins

espèce de passage et hivernante

Aigle royal

ce roi des airs sera-t-il une fois nicheur dan cette longue vallée
On l'aperçois quelques fois volant très haut é la recherche de nourriture. La population de marmottes pourrait donner chance à bonne source de nourriture à notre grand prédateur

Balbuzard pêcheur

Barge à queue noire

Bécasseau variable

Migrateur nocturne ce bécasseau non nicheur en suisse et venant du nord de l'Europe bien fréquent en migration. le rare endroit est la tête du lac, où les bancs de sable est le rare endroit pour une source de nourriture avant de suivre sa migration.

Bécasseau minute

Bergeronnette printanière

Migratrice long court cette belle bergeronnette au dos jaunâtre et sa longue queue, est aperçue seulement de passage.
Nicheuse rare de plaine en Suisse et fréquente en France. Son milieu de prédilection est les grandes cultures.

Busard des roseaux

Chevalier sylvain

Chevalier aboyeur

Canard siffleur

Venant du Nord et ne nichant pas en suisse ce beau canard au front jaune se retrouve quelques fois sur notre lac en halte migratoire.
A défaut de sa nourriture sur des zones peu profonde il se peut que l'observation est sur nos pelouses en train de se nourrir en broutant nos parcelles herbées.

Canard Pilet

Venant de Scandinavie il est de passage chez nous et est un des rares canards à se rendre en Afrique pour passer l'hiver.

Canard souchet

Ce canard de surface reconnaissable par son bec large et ses flans roux

Canard chipeau

Chevalier guignette

Ce petit chevalier présent quasi toute l'année est nicheur rare en suisse avec une 10 dizaines de couples
Sa présence augmente courant septembre voir même en août avec les premiers passages. Ce limicole ne migre pas très loin et peu même rester jusqu'au première neige.
Il ne se déplacera pas comme ses cousins jusqu'en en Afrique.
au retour des beau jours quelques individus sont aperçus sur nos rive mâme caillouteuse à la recherche de petit insectes

Chevalier arlequin

Cigogne blanche

Notre célèbre migratrice la cigogne blanche est aperçue seulement en automne où en début de printemps à partir de mi février puisque sa nidification commence très tôt.
Longtemps en liste rouge et migratrice partielle , ses effectifs ont augmentés grâce aux mesures de protections des pylones électriques cause de mortalités la plus répandue.
otre description de la Cigogne blanche est très pertinente, mais il y a quelques nuances importantes à apporter, notamment concernant son statut actuel et son comportement migratoire.

Une histoire de survie et de réintroduction :En fait, la Cigogne blanche a complètement disparu de Suisse en tant que nicheuse en 1950. C'est grâce à un ambitieux projet de réintroduction, notamment à Altreu (Soleure), que l'espèce a pu recoloniser le pays. C'est un succès de conservation remarquable.

Les migrations en mutation : La Cigogne blanche est une migratrice au long cours, mais son comportement a évolué. Historiquement, elle hivernait en Afrique. Cependant, de plus en plus de cigognes choisissent de passer l'hiver en Europe, notamment dans le sud de l'Espagne, voire même de rester en Suisse en raison du réchauffement climatique et de la disponibilité de nourriture (notamment dans les décharges à ciel ouvert). Cela signifie que même si la majorité migre, il n'est plus rare d'en observer en plein hiver.

Protection et mortalité : Les électrocutions et les collisions avec les lignes électriques étaient et restent une cause de mortalité importante, surtout pour les grands oiseaux. Des mesures de protection, comme l'installation de plateformes de nidification sur les pylônes ou la sécurisation des lignes, sont mises en place par les gestionnaires de réseaux en collaboration avec les associations de protection de la nature pour réduire ces risques. C'est en partie grâce à ces efforts que les populations ont pu augmenter.

Le retour au printemps : Le retour des cigognes dès la mi-février pour les plus précoces et surtout pour celle qui ne sont pas descendue au delà de notre continent est un signal fort du printemps et de l'approche de la période de nidification.

La Cigogne blanche est un exemple parfait d'une espèce qui a bénéficié de l'intervention humaine pour sa survie et dont le comportement migratoire est en pleine mutation, témoignant des effets du changement climatique.

Cisticole des joncs

• La Cisticole des joncs (Cisticola juncidis) : Cette petite fauvette typique du sud est en expansion et s'installe progressivement dans les zones humides du nord.

Combattant varié

petit limicole de passage à condition que nos berges de lac offres suffissement de zone de ressource de nourriture.
migrateur nocturne de long court, il restera quelques heures chez nous avent de repartir dans ses quartiers hivernaux

Fuligule milouin ( Aythya ferina)

Les effectifs sont en probable diminution depuis que le réchauffement climatique se manifeste
Ce ressenti est identique sur nos grands lacs

Fuligule nyroca (Aythya nyroca)

Garrot à oeil d'or

Ce petit canard cavicole venant du nord et commence à nicher dans notre pays et se montre régulièrement sur notre lac en période hivernale.
Pourquoi ne pas imaginer un fois que ce petit canard ne nicherait pas une fois sur notre lac.
Malheureusement nos hivers ne sont plus aussi froid dans le nord de l'Europe que nos petits plongeurs ne se déplace plus comme avant.

Goéland cendré

Guifette noire

Guêpier d'Europe

• Le Guêpier d'Europe (Merops apiaster) : Cet oiseau très coloré et migrateur du sud a déjà commencé à nicher sporadiquement en Suisse et dans d'autres régions d'Europe du Nord, poussé par le réchauffement climatique.
son apparition à la Vallée et une escale sur la route de sa migration

Grand cormoran

Se reconnaît en vol par sa forme de grande croix
Piscivore spécialisé passe l'année chez nous. L'incertidute que cet oiseaux ne se reproduise pas une fois à notre altitude, le réchauffement pourrait provoque une future méprise de nos pêcheurs.

Grande aigrette

Ce grand échassier blanc hiverne de plus en plus chez nous par les conditions

Grive mauvis

Mêlée aux autres arrivants cette petite grive aux flans roux sera que de passage chez nous avant de rejoindre ses quartiers d'hiver où ses quartiers de nidifications. La plus part c'est dans les pâturage encore où soit encore muni de zone enneigée que ce turdidé trouvera encore déjà quelques vers à sortir comme source de nourriture.

Grue cendrée

Pour ce déplacer au sud de l'Europe elle traverse la suisse par ce qu'elle à changer son itinéraire . Pour cela sa route peut passer par la Vallée de Joux. Même si ses étapes ne s'arrête pas elle passe en hauter et de nuit se distingue par son cri.

Huppe fasciée

La Huppe fasciée (Upupa epops) : Autrefois plus commune dans le sud de l'Europe, elle étend son aire de reproduction vers le nord et niche de plus en plus fréquemment dans des régions où elle était autrefois rare.
Migrateur nocturne , la vallée de joux peut être un site d'escale avant de poursuivre sa route migratoire

Jaseur boréal

Martin pêcheur

La flèche bleue qui nous passe devant nos yeux n'aura pas eu le temps d'être admirer Son cri stident nous signalera en premier sa présence.
C'est seulement en hiver que ce piscivore est admirer percher sur un roseaux où sur le ponton.
L'observation du Martin pêcheur est probablement un hôte d'ailleurs et qui aura probablement fait un millier de km pour trouver des meilleures conditions
Pas encore nicheur à la Vallée de Joux un projet que j'ai a coeur de réaliser.
L'Orbe rivière principale de notre vallée pourrait offrir des sites favorables

Mouette mélanocéphale

Mouette rieuse

Présente début d'automne et en légère augmentation en hiver la mouette rieuse et une insectivore.
nicheuse en colonie en suisse avec les couples elle se retrouve malgré tout en liste rouge.
le soir se retrouve au milieu du lac pour y passer la nuit
Autrefois plus répandue
Avec le réchauffement climatique quelques individu passe l'hiver sur la lac de joux et les rousses

Mouette pygmée

De passage sur nos lacs en migration sur l'Afrique
Cette mouette est observée chaque année est-ce par des observations plus nombreuses d'observateurs.
Date d'observation:

Oie cendrée

Petit gravelot

Pigeon colombin

les quelques données de l ancien atlas
Inféodé par les forêts de feuillus où abrite des cavités de pic noir qu'il utilise pour se reproduire.
Migrateur long court il peut aussi être aperçu en migration.

Pinson du nord

Un probable futur nicheur en suisse. Pour l'instant on se contente de l'admirer en période hivernale. Surtout visible au mangeoire. Il nous vient du Nord de l'Europe que lorsque la nourriture viens à manquer et retrouve de quoi se nourrir chez nous. Pour certain continue leur migration vers le sud. Ses déplacements sont dû à la disponibilité de sa nourriture
granivore mais aussi insectivore pendant la nidification.
Il peut être plus fréquent lorsque la fainée est abondante.

Migrateur partiel

Statut de protection. N'est pas en danger

Sarcelle d'été

Sarcelle d'hiver

Sterne caspienne

Sterne pierregarin

Entièrement piscivore cette petite mouette des mers et de nos lacs elle peut lors de sa migration sur l'Afrique faire escale sur notre lac.

Tichodrome échelette

Lié au falaise a la recherche de petits insectes est visible si la chance nous parvient que pendant la période hivernale. Nos surfaces ne sont pas assez grande pour le voir nicher. ce magnifique petit papillon aux ailes rouges et arrondies sont visibles que en vol. Lorsqu'il recherche sa nourriture ce petit passereau est plutôt d'un gris antracite

Vanneau huppé

on aurait voulu le garder nicheur dans notre vallée
des projets nationaux sont en routes pour sa protection puisque cette espèce est en liste rouge et prioritaire
Par l'intensité de nos pâturages et les gros risque de prédation si des mesures ne sont pas prises sa nidification est vouée à l'échec
A la vallée on se contentera de la voir de passage sur sa route de migration au sud de l'Europe, voir même au Nord de l'Afrique.

Vautour fauve

ce magnifique rapace si, visible dans notre région ne fera que de passer en direction du Sud

Espèces nicheuses

Accenteur mouchet

Petit passereau très discret de notre vallée est présent toute l'année, mais lié au conifère et au broussailles l'avenir de ce petit insectivore est a se souciller par la sécheresse et dégradation de nos forêts
Au début du printemps notre petit discret s'entent facilement perché sur le haut des cimes, sinon aime les fourrés très ombragés.
Nicheur fréquent se nourrit de petit insectes araignée et parfois deviens granivore

Alouette lulu

Cette petite alouette aurait -elle de l'espoir de revenir en force avec le réchauffement climatique? Elle aime les prairies sèches
Nicheur sur des sol sec et imperméable. Une zone en mosaïque avec herbe moyennement haute pour nicher et rase pour se nourrir Sa présence se manifeste par son chant le plus souvent perché sur un sapin.
On peu aussi la voir jusqu'en début de l'hiver mais on chant se fait entendre à partir d'avril si les conditions hivernales ne sont pas trop rude
Sa répartition montre sa présence avec des incertitude que sa nidification n'est pas prouvée.

Migration

Statut de protection: laisser des zone extensives et forme de mosaïque.

Alouette des champs

Comme la carte le montre l'alouette ne donne plus autant de tempête de trilles dans le ciel de la Vallée.
Comme sur le plateau cette petite à gagné en altitude par la trop grande intensification de nos prairies.
C'est seulement de mars à juin que ce petit passereaux peu être perçu sur les flan de nos sommets.
Nicheuse au sol et se nourrit de petit vers et de graminées

Migration. Diurne où nocturne a partir de septembre descend au sud de l'Europe

présence hivernale: très rare

Statut de protection:

Bécasse des bois

Bergeronnette grise

Cett hochequeue

Bergeronnette des ruisseaux

Cette charmante bergeronnette des ruisseaux que l'on côtoie pas seulement comme son nom l'indique au bord des ruisseaux mais aussi dans les alpages.
Son plumage mâle et femelle se distingue par la bavette noire sous la gorge pour le mâle. en hiver cette bavette disparît et les deux sexe sont identique
Elle construit dans des petites infractuosités

elle n'est pas comme ses cousines qui disparaissent en hiver. Elle s'adapte très bien à nos conditions pour autant que les berges du lac sont accessibles aux insectes

Migration

présence hivernale

Statut de protection.
Description et plumage
La bergeronnette des ruisseaux, ou Motacilla cinerea, est un oiseau élégant, plus élancé et gracieux que ses cousines. On la trouve non seulement près des ruisseaux, comme son nom l'indique, mais aussi dans les alpages et au bord des lacs.

Le mâle est reconnaissable au printemps et en été par sa distinctive bavette noire sous la gorge. Le reste de son plumage est gris ardoise sur le dos, jaune vif sur le croupion, et jaune pâle sur le ventre.

La femelle n'a pas cette bavette noire. Sa gorge est claire, d'un blanc cassé.

En hiver, la bavette du mâle disparaît, rendant les deux sexes très similaires et plus difficiles à distinguer.

Nidification
La bergeronnette des ruisseaux construit son nid dans des cavités et infractuosités de toutes sortes. Il peut s'agir de rochers, de murs de pierres, de ponts, de piles de bois ou de berges abruptes. Le nid est souvent bien caché et construit avec des herbes, de la mousse et des radicelles, puis tapissé de poils ou de plumes.

Migration et présence hivernale
Contrairement à certaines de ses cousines, la bergeronnette des ruisseaux n'est que partiellement migratrice.

Certaines populations restent en Europe toute l'année, notamment là où le climat est plus doux et où les cours d'eau ne gèlent pas.

D'autres populations, notamment celles des régions plus froides d'Europe du Nord et de l'Est, migrent vers le sud pour l'hiver, rejoignant le pourtour méditerranéen ou le nord de l'Afrique.

Sa capacité à rester en hiver dépend de l'accès aux insectes, sa principale source de nourriture. Si les berges des lacs et des rivières restent libres de glace et que la nourriture est disponible, elle peut s'adapter et passer l'hiver sur place.

Statut de protection
La bergeronnette des ruisseaux est une espèce commune et son statut de conservation est généralement jugé « préoccupation mineure » (Least Concern) par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). En Suisse, elle est également une espèce non menacée. Cependant, comme pour tous les oiseaux, la préservation de son habitat (cours d'eau non pollués et rives naturelles) est essentielle pour maintenir ses populations.

Buse variable (Buteo buteo)

Comme son nom l'indique ce rapace offre une grande variété de plumage, et de taille
Rapace très commun il a une silhouette aux ailes bien arrondies pour mieux se déplacer en milieu forestier où sont nid est construit.
Il chasse plutôt des micromammifères quelques fois des oiseaux blessés pour élever 2-3 poussins.
Sédentaire on l'aperçois chasser toute l'année et est très territoriale pour défendre son territoire durant toute l'année.A défaut de proie elle peut cependant devenir charognard.

est très territoriale pour défendre son territoire durant toute l'année.

la Buse variable (Buteo buteo).

Un rapace au plumage varié
La Buse variable est l'un des rapaces diurnes les plus communs d'Europe. Son nom, "variable", fait référence à l'incroyable diversité de son plumage, qui peut aller du brun foncé presque noir au crème très clair, avec une multitude de motifs intermédiaires. Cette variabilité est très marquée et rend l'identification par le plumage parfois difficile, même si sa silhouette typique en vol avec ses ailes larges et arrondies reste un bon indice.

Habitat et nidification
Elle est très adaptable et vit dans une grande variété d'habitats, notamment les forêts, les lisières de bois et les zones agricoles. sa silhouette avec ses ailes larges lui permet de se déplacer efficacement dans les zones boisées. Elle construit son nid, souvent volumineux, dans les arbres, où elle élève généralement 2 ou 3 poussins.

Régime alimentaire et comportement
Son régime alimentaire se compose principalement de micromammifères, comme les campagnols et les souris, qu'elle chasse en planant ou en guettant depuis un perchoir. Elle peut aussi capturer de petits oiseaux ou des reptiles.

Sédentarité et territorialité
La Buse variable est une espèce sédentaire sur une grande partie de son aire de répartition. Elle défend son territoire de chasse et de nidification tout au long de l'année, ce qui explique pourquoi on peut l'observer en toute saison, perchée sur un poteau ou tournoyant dans le ciel. Sa forte territorialité est un élément clé de son comportement, assurant la protection des ressources alimentaires nécessaires à sa survie.

Bruant jaune

Bruant des roseaux

Il se peut que le bruant des roseaux passe une partie de l'hiver à la Vallée, et se remarque par son petit cris très strident. sinon la majorité descend au sud de la france Au printemps son chant très bref et en milieu de roselières
Construit son nid aussi dans les saules bordant l'Orbe

Migration

présence hivernale

Statut de protection

Canard colvert

Très commun sur notre lac ce canard à des effectifs qui montre sont s'adapte le mieux dans les changements de l'environnement. Ancêtre de nos volière finit quelques fois dans nos assiettes.
Présent toute l'année avec des effectifs qui augmentent en hiver
Se nourrit de végétaux, d'insectes et de crustacés.
il se pourrait aussi que ce canard nichent sur nos bâtiments si des dérangements humain venait à le provoquer .....

image

Très commun sur notre lac ce canard à des effectifs qui montre qu'il s'adapte de mieux dans les changements de l'environnement. Ancêtre de nos volières finit quelques fois dans nos assiettes.
Présent toute l'année avec des effectifs qui augmentent en hiver
Se nourrit de végétaux, d'insectes et de crustacés.
il se pourrait aussi que ce canard nichent sur nos bâtiments si des dérangements humain venait à le provoquer
Trèe commun mais aussi très profiteur de situation en profitant que d'autre nid déjà construit peu être voler par une femelle Même si le nid o`la ponte est déjà commencée comme le montre cette photo avec ce jeune de Nette rousse.....

Il semblerait que vous parliez du Canard colvert (Anas platyrhynchos). Les informations que vous avez fournies correspondent parfaitement à cette espèce :

C'est un canard très commun, que l'on trouve toute l'année.

Il s'adapte bien à l'environnement, y compris aux changements causés par l'activité humaine.

Il est l'ancêtre de la plupart de nos canards domestiques et est parfois consommé.

Son régime alimentaire est varié (végétaux, insectes, crustacés).

Il peut nicher dans des lieux inattendus, comme sur des bâtiments.

Les femelles ont parfois un comportement opportuniste, parasitant les nids d'autres espèces, comme la Nette rousse, en y déposant leurs œufs.

La photo avec le jeune de Nette rousse confirme cette interaction, car le Canard colvert est connu pour ce type de comportement de parasitisme de couvée.

Chardonneret élégant

très coloré et très réputé pour ses différentes maitrises de nourrir il passe souvent inaperçu. ce petit granivore est souvent observé en bande en dehors de sa période de nidification.
Il se présente aussi souvent dans les mangeoires
Il construit son nid le plus souvent dans divers arbres
Se nourrit dans les arbres et aussi le plus souvent au sol pour récolté graines de fleurs.
Habile comme une mésange il s'aggripe en extrémité des branches à la recherche de petit insecte surtout en début de nidification.
Migration. sédentaire

présence hivernale: déplacement au dépend de ses ressources alimentaire

Chouette de Tengmalm

Cette petite chouette qui se maintient encore dans notre forêt du risoux peine à se maintenir grâce à une suivi très poussé
Le texte que vous avez fourni semble décrire la Chouette de Tengmalm (Aegolius funereus).

Une chouette discrète en difficulté
La Chouette de Tengmalm est une petite chouette forestière, très discrète et nocturne. Elle est présente dans les forêts de conifères, comme le Risoux, où elle trouve les cavités nécessaires pour nicher, souvent d'anciens nids de pics noirs.

Elle se nourrit principalement de petits rongeurs, et sa population est fortement liée à la disponibilité de ces proies. La Chouette de Tengmalm est considérée comme une espèce vulnérable en Suisse.

Pourquoi est-elle en difficulté ?
La Chouette de Tengmalm fait face à plusieurs défis :

Destruction et fragmentation de son habitat : la gestion forestière intensive et la disparition des vieux arbres et des bois morts réduisent le nombre de cavités de nidification.

Disponibilité des proies : les populations de rongeurs fluctuent naturellement, mais d'autres facteurs comme l'usage de pesticides peuvent affecter sa chaîne alimentaire.

Compétition : elle subit la concurrence d'autres espèces, comme la Chouette hulotte, qui est plus grande et plus agressive.

Le rôle du suivi
Comme vous le mentionnez, elle peine à se maintenir, et c'est grâce à un suivi très poussé qu'on peut la protéger. Ce suivi comprend :

Le recensement des populations : on utilise des techniques de baguage ou des enregistrements de chants pour évaluer le nombre d'individus et leur répartition.

La pose de nichoirs artificiels : pour compenser le manque de cavités naturelles, des nichoirs sont installés dans les forêts.

La protection de son habitat : les efforts de conservation visent à préserver les forêts anciennes et les zones de bois mort, qui sont essentiels à sa survie.

Ces actions de conservation sont cruciales pour assurer la survie de cette petite chouette fragile dans nos forêts.

Chevêchette d'Europe

Très difficile à trouver dans notre immense forêt ce petit monstre de nos contrées niche dans des cavités creusée par le pic épeiche, où tridactyle
La chevêchette d'Europe est le plus plus petit rapace nocturne d'Europe
La majorité de son activité se passe de jours par sa taille et peu être justement une proie facile par ces congénères pour cela elle choisit des forêt plus éclairsie que ses congénère pour lui facilité une chasse tardive.
Sa présence peut être décelée par son chant soit au printemps où en automne, mais attention elle change de chant à la fin de l'été.
Par sa survie en hiver elle fait des réserve de nourriture quelle stoke dans des cavité où nichoirs, quelle réchauffe avec la température de son corps
Par sa taille de 15cm elle chasse des proies aussi grosse qu'elle

La Chevêchette d'Europe : Le Plus Petit "Monstre" de la Nuit
Votre description de la Chevêchette d'Europe (Glaucidium passerinum) est excellente et souligne bien pourquoi ce plus petit rapace nocturne d'Europe est si difficile à observer dans l'immensité de la forêt !

Voici une fiche de détermination et de comportement synthétique pour ce petit rapace qui, malgré sa taille (15 cm), est un prédateur redoutable :

Identification et Particularités
Caractéristique Détail de Détermination
Taille Le plus petit rapace nocturne d'Europe (environ 15 cm).
Période d'activité Majorité de l'activité se passe de jour (contrairement à beaucoup de ses congénères hiboux et chouettes).
Habitat de chasse Choisit des forêts plus éclaircies que d'autres rapaces pour faciliter la chasse (souvent tardive en journée).
Chant Sa présence est décelée par son chant, qui est différent au printemps/été et à la fin de l'été/automne (le chant territorial est souvent un sifflement régulier et discret).

Nidification et Écologie
Nidification : Niche exclusivement dans des cavités d'arbres.

Régime alimentaire : Bien que minuscule, elle est capable de chasser des proies aussi grosses qu'elle (petits passereaux, rongeurs).

Techniques de Survie Hivernale
Pour survivre à la saison froide, la Chevêchette d'Europe a développé une stratégie remarquable :

Réserves de nourriture : Elle constitue des réserves de nourriture (petits mammifères et oiseaux) qu'elle stocke dans des cavités naturelles ou des nichoirs.

Conservation de la chaleur : Elle peut réchauffer ses proies avec la température de son propre corps (elle s'assoit dessus) pour les maintenir en état, une adaptation cruciale pour un rapace sédentaire en montagne.

Le fait que sa petite taille la rende potentiellement une proie facile pour d'autres congénères (plus grands) explique sa discrétion et son choix de chasser à des moments et dans des lieux moins concurrentiels que les grands rapaces nocturnes.

C'est passionnant ! L'entendre est souvent la seule façon de confirmer sa présence. Le chant de la Chevêchette d'Europe est si discret, mais tellement révélateur de l'état des vieilles forêts de résineux.

Il est important de se souvenir des deux types de vocalisations pour ne pas la manquer :

Chant territorial (printemps-été) : Un sifflement doux, régulier et monotone ("puu... puu... puu") répété toutes les deux secondes, souvent entendu au crépuscule ou à l'aube.

Chant d'automne : Un chant souvent plus rapide et roulé, utilisé lors de la dispersion des jeunes ou pour marquer le territoire en vue des réserves hivernales.

Chouette hulotte

Rapace nocturne le plus répandu de notre pays, et qui se limitait à une altitude moyenne de 1000 m est aujourd'hui plus répandu. sa présence est distingue de plus en plus haut et peu s'entendre jusqu'à la limite des arbres.
Son chant ne se rententi pas seulement en début de printemps mais aussi durant toute l'année.
le réchauffement climatique provoque sa présence de plus en plus haut dans nos forêts et pourrait bien perturber plusieurs nicheurs en plus de ceux déjà adapté à la chasse de petit passereaux

Cincle plongeur

Cincle plongeur, prince des rivières, a condition que de petite chute où quelques rapides. aussi connu sous le nom de Merle d'eau. C'est un oiseau fascinant, parfaitement adapté à son environnement aquatique. Il se compare avec le merle noir par sa queue courte.

Présence hivernale : Le cincle plongeur est en effet un oiseau sédentaire qui reste sur son territoire toute l'année. Sa capacité à se nourrir sous l'eau lui permet de survivre même lorsque d'autres espèces migrent sur de longue distance, il se pourrait que ceux du secteur migrent jusqu'en plaine.

Adaptation à l'eau : C'est le seul passereau capable de plonger et de marcher au fond de l'eau pour trouver sa nourriture. Son corps trapu, ses os plus lourd, ses plumes serrées et imperméables lui sert de nageoire et sont parfaite pour cette tâche. Un troisième paupière en transparence lui sert de lunette de plongée Il se nourrit principalement de larves d'insectes aquatiques, de petits crustacés et même de petits poissons.

Construction du nid : Il construit son nid en forme de boule, souvent dissimulé derrière une cascade, sous un pont ou dans une fissure de falaise. Ce choix d'emplacement est stratégique pour le protéger des prédateurs.

Statut de protection : Sa présence est un excellent indicateur de la bonne santé des cours d'eau. Il a besoin d'eaux claires, froides et non polluées pour prospérer. La protection de son habitat naturel, les rivières et les ruisseaux de montagne, est donc essentielle à sa survie.

C'est une chance de pouvoir observer ce petit oiseau robuste et agile. La prochaine fois que vous êtes au bord d'un ruisseau de montagne, regardez bien, vous l'apercevrez peut-être en train de faire ses allers-retours au bord de l'eau.

Coucou gris (Cuculus canorus)

Le chant caractéristique : Son chant, qui lui a donné son nom, est un son familier du printemps et du début de l'été. Il est l'appel de parade du mâle.

Le parasitisme de couvée : Le coucou gris est l'exemple le plus célèbre de ce comportement. La femelle ne construit pas de nid et ne couve pas ses œufs. Au lieu de cela, elle dépose ses œufs, souvent de couleur et de taille similaires à ceux des espèces qu'elle parasite, dans les nids d'autres oiseaux (appelés "hôtes"). Le jeune coucou, une fois éclos, éjecte les autres œufs ou oisillons du nid pour être nourri seul par ses parents adoptifs.

Discrétion et mobilité : Le coucou est un oiseau très discret et difficile à observer. Il se déplace sur un large territoire pour trouver les nids à parasiter.

Alimentation : Il se nourrit principalement d'insectes, et a une préférence marquée pour les chenilles, y compris les chenilles velues que d'autres oiseaux dédaignent.

Migration : Le coucou gris est un migrateur au long cours. Il passe l'hiver en Afrique de l'Est et revient en Europe au printemps. Les adultes repartent très tôt, parfois dès la fin juin, laissant les jeunes, qui migrent seuls,avec leur insteint de survie.

Déclin : les populations de coucous sont en déclin, notamment en raison de l'intensification de l'agriculture et de la dégradation de leur habitat. ce déclin est lié à plusieurs facteurs : la raréfaction de sa nourriture principale (les chenilles) et le décalage de son calendrier de reproduction avec celui de ses hôtes, probablement lié au changement climatique.

Statut de protection : En France et en Suisse, le coucou gris est une espèce protégée. Cela signifie que la destruction de l'oiseau, de ses œufs ou de son habitat est interdite.

Epervier d'Europe

Très rapide ce petit rapace à la taille d'un faucon crécerelle mais une longue queue, ailes courtes et arrondies, surprend ses proies spécialement des oiseaux dans les milieux ouverts et même en agglomération.
Il s'aperçoit aussi en vol plané à l'affût des hirondelles
Il niche dans de vielle aire de corvidés bien à l'abri dans les épicéa et parfois dans les feuillus.
En hiver un épervier est aperçu mais pas forcément un résident et chassant des oiseaux aux mangeoires

Migration: Partielle

Hivernant. oui

Statut de protection:

Etourneau sansonnet (Sturnus vulgaris)

Nicheur rare : Bien qu'il soit très répandu, il est considéré comme un nicheur rare dans le secteur étudié, probablement à cause de la concurrence pour les sites de nidification. Il niche dans les cavités, que ce soit des trous d'arbres, des fissures dans des bâtiments ou des nichoirs.

Plumage hivernal : En été, son plumage est d'un noir iridescent avec des reflets verts et violets. En hiver, son plumage est piqué de petites taches blanches qui lui donnent un aspect moucheté. Ces taches disparaissent avec l'usure des plumes au printemps, révélant le plumage nuptial brillant.

Comportement social : Les étourneaux sont extrêmement sociaux. En dehors de la saison de reproduction, ils se rassemblent en vastes troupes, et c'est un spectacle impressionnant de les voir voler ensemble en formations synchronisées (ce qu'on appelle un "murmuration"). Ce comportement social est également notable en dehors de la nidification, mais lors de la défense de leur cavité, ils peuvent devenir très agressifs envers les intrus.

Habitat et nourriture : Ils se nourrissent dans les zones dégagées, comme les prairies, les champs et les pelouses, où ils peuvent trouver des insectes et des vers de terre. C'est pourquoi ils ont plus de difficulté à trouver leur nourriture dans les forêts trop denses.

En automne et en hiver, les rassemblements pour la nuit dans les roselières sont très caractéristiques de cette espèce. Des milliers d'individus peuvent se retrouver au même endroit pour passer la nuit ensemble, ce qui offre une certaine sécurité contre les prédateurs.

Migration: Présence toute l'année,il est sédentaire, et la petite population est renforcée en hiver par l'arrivée d'oiseaux migrateurs venant du nord et de l'est de l'Europe.

Statut de protection : En France et en Suisse, il n'a pas de statut de protection particulier, car ses populations sont généralement considérées comme stables ou en légère diminution sans être menacées.

Faucon crécerelle

Contre le vent le Faucon crécerelle se positionne la queue en éventail et son battement des ailes en saint esprit est sa manière de chasser ces proies. le plus commun des faucons de la Vallée de joux, reste sédentaire toute l'année pour autant que les conditions météo lui convienne.
Il peux au contraire se déplacer de quelques km pour trouver des meilleures conditions.

Migration: sédentaire

Observation hivernale: toute l'année
statut de protection: laisser des zone non cultivée et intensive Pose de nichoirs sur des bâtiments

Faucon pélerin

le plus rapide de nos faucons n 'a pas d'énorme sites

Faucon hobereau

Fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla)

Chant magnifique et infatigable : Son chant, une mélodie flûtée et puissante, est l'un des plus beaux du printemps et du début de l'été. Il est souvent émis depuis le cœur d'un buisson dense, ce qui rend l'oiseau difficile à voir, même s'il est facile à entendre.

Présence en milieu urbain : La Fauvette à tête noire s'adapte bien aux parcs et jardins des villes, à condition d'y trouver des buissons pour se cacher et nicher.

Alimentation : Bien qu'elle se nourrisse principalement d'insectes au printemps et en été, elle devient plus frugivore à l'automne et en hiver, se nourrissant de baies et de fruits pour faire le plein d'énergie. C'est pourquoi on peut l'apercevoir tard dans la saison.

Cri d'alarme : Son cri d'alarme, un "tchec-tchec" sec, rappelle en effet le bruit de deux cailloux qui s'entrechoquent. C'est un excellent moyen de l'identifier, même sans la voir.

Migration et présence hivernale : C'est une espèce migratrice pour le sud de l'Europe voir le Nord de l'Afrique , mais de plus en plus d'individus, notamment ceux du nord de l'Europe, peuvent choisir de passer l'hiver en France, en Belgique, ou en Suisse, si les conditions climatiques sont suffisamment douces pour qu'ils trouvent de la nourriture. Cette adaptation est probablement liée au changement climatique.

Statut de protection : Elle n'est pas considérée comme une espèce menacée. La conservation des habitats, notamment les haies et les buissons indigènes qui lui fournissent nourriture et abri, est cruciale pour le maintien de ses populations.

Fauvette des jardins

Si dans la mémoire le chant de la fauvette à tête noire est bien encré celui de la fauvette des jardins se ressemble mais en plus roulé.
Contrairement à son nom on la rencontre dans les fourré , bocage et aussi dans les parcs.
son nid sera construit à faible hauteur dans un buisson dense.

Migration

présence hivernale: aucune

statut de protection: Conservation de lisière dense et étagée en bordure de forêt, de haies vives en bordure pâturage.

Fauvette grisette

D'après la description que vous avez donnée, l'oiseau en question est très probablement la Fauvette grisette (Sylvia communis).

Plusieurs éléments de votre description correspondent parfaitement à cette espèce :

Migration au long cours : La Fauvette grisette est une grande migratrice qui passe l'hiver en Afrique subsaharienne et revient en Europe au printemps pour la reproduction. Elle est totalement absente de nos régions en hiver.

Absence hivernale : Comme vous l'avez précisé, sa présence hivernale est nulle, ce qui la distingue d'autres espèces comme la Fauvette à tête noire, qui peut parfois rester en cas d'hiver doux.

Statut de protection fragile : C'est un oiseau qui a vu ses populations décliner dans de nombreuses régions d'Europe. Son statut est considéré comme fragile car il est très dépendant des prairies, des jachères et des haies champêtres. L'intensification de l'agriculture, qui entraîne la disparition de ces habitats, est une menace majeure pour l'espèce.

Habitat : La mention "nos prairies sont intensives" est un indice fort. La Fauvette grisette niche au sol, dans les buissons et les herbes hautes, souvent en bordure de champs ou dans des zones de plaine moins cultivées. La destruction de ces habitats et la fauche précoce des prairies sont des causes directes de son déclin.

En résumé, la Fauvette grisette est un excellent indicateur de la santé de nos paysages ruraux. Sa survie est directement liée à la conservation des zones agricoles traditionnelles, moins intensives, qui offrent les buissons et les herbages nécessaires à sa nidification et à son alimentation.

Fuligule morillon

Ce petit canard se distingue facilement des autres canards par ce plumage noir et blanc pour le mâle et d'une couleur plutôt unie brune pour la femelle
présent toute l'année sur notre lac et bien plus nombreux en hiver par les individu en provenance du nord de l'Europe
Il a su trouver sa nourriture avec la moule zébrée
Voir combien de nicheur sont présent
nicheur au sol dans les hautes herbes longeant le lac et aussi le lonf de l'Orbe c'est courant fin juillet et jusqu ...... que les femelles se manifestent avec leurs petits poussins brun chocolat
Le mâle ne s'occupe plus de sa nichée après l'éclosion de sa progéniture

Foulque macroule

A ne pas confondre avec la gallinule.
Très reconnaissable par son bec d'ivoire blanc et sa tenue toute noire ce rallidé aquatique le plus querelleur avec ses congénères qui occupent les mêmes milieux ne se gêne pas de se dresser et se battre de coups de pattes en avant.
Elle est également très agressive auprès des autres nicheurs aquatique
Construit son nid de matériaux en bordure des lac et même le long de notre rivière.
En hiver la foulque bien moins grégaire en dehors sa période de nidification d'avril à août vit en grande bande à la recherche de végétation
ous avez parfaitement décrit la Foulque macroule (Fulica atra) !

Chacun des détails que vous avez mentionnés est une caractéristique clé de cet oiseau aquatique :

Une allure distinctive : Son corps entièrement noir et son bec ainsi que sa plaque frontale d'un blanc pur et brillant (que vous décrivez si bien comme "d'ivoire") la rendent impossible à confondre avec la Gallinule poule-d'eau, qui possède un bec rouge et des teintes plus variées.

Un caractère bien trempé : Vous avez tout à fait raison de la qualifier de "querelleuse". Les foulques sont très territoriales pendant la période de nidification. On les voit souvent se dresser sur l'eau pour se donner de violents coups de pattes, un spectacle impressionnant pour un oiseau de cette taille.
leur comportement change radicalement en fonction des saisons. Solitaires et agressives au printemps et en été pour défendre leur territoire de nidification, elles se rassemblent en vastes groupes en automne et en hiver, formant de grandes "bandes" sur les lacs pour trouver de la nourriture.
Migrateur nocturne peut voler des centaines de kilomètres pour

Gélinotte des bois (Bosana bonasia)

Présente sur tout le pourtour du secteur mais uniquement en plaine forêt, sa discrétion est difficile à la cerner. Lors des ballade sa présence se trahit par ses traces dans la neige et par les tas de fientes, Son territoire est très limité. Son chant est également très discret et peu s'entendre toute l'année sauf par grand froid.
Il est impossible de donner un effectif précis sur la population ses effectifs peuvent varier chaque année.

Migration: Totalement sédentaire

présence hivernale: oui

Statut de protection. La conservation de buisson dense et éviter de se déplacer en dehors de chemin banalisé. l'impact de plus en plus nombreux de promeneur et de champignonneurs peut avoir un impact très important sur le succès de la nidification et de gaspiller de l'énergie au jeunes poussins

Geai des chênes

Le geai des chênes gardien de nos forêts. pilleurs de renommée ce corvidé est répandu dans la presque la totalité du territoire.
Omnivore sa nourriture malgré son nom

Migration: partielle des passages de plusieurs individus peuvent être aperçu

Présence hivernale: partielle

Statut de protection: Non menacé

Grand duc d'Europe ( Bubo bubo)

Du haut de la chaine alimentaire ce roi des prédateurs et est le géant des rapaces nocturnes.
Pour une chance de le voir la patience à son prix. Lié au falaise pour nicher et de grande surface à découvert pour sa chasse
Son chant de parade débute très tôt dans l'année dès février
Un vision de 50 à 100 fois plus puissante que l'homme Son chant retenti à plus de 1 km.

Grand tétraz

maître de nos forêts et bien protégé par de forte mesure de conservation la carte de répartition ne peux être présentée.
Il est très rare de voir ce gallinacé impressionnant par sa taille.
Si la chance nous sourit on peut observer en bordure de chemin un individu qui se nourrit.
L
Nicheur au sol la femelle se blottit sous une souche où dans une buisson pour y déposer ses oeufs.
L'énergie dépensée par un dérangement peux lui valoir
Sa nourriture principale est de petite baie , graine petit insectes. L'hiver c'est essentiellement des épines de sapins blanc

Grèbe huppé

Le plus grand et le plus répandu de nos grèbes.
Il se reconnait facilement par sa belle tenue et aussi par ses scènes de parades. Nos lacs poissonneux et végétalisés ont une capacité de protéger quelques couples. il construit son nid à même découvert si le support à sa capacité de soutenir l'amas de brindille souvent humide pour mieux consolider son nid
Il se peut que son nid soit amarré à des cordages de bateaux.
Les parades nuptiales sont une dance corp à corp tête dressée.
présent toute l'année les r

Grèbe castagneux

Le plus petit des grèbes et moins répandu que le grèbe huppé, ce distingue en premier lieu par son chant similaire à un rire presque hystérique.
Son nid est construit de de amas de végétation en toute discrétion dans les roseaux.
le couple se rélaye pour couver est se nourrit de
Les deux couvaisons couvrent la perte des poussins en fois sur l'eau, par le brochet où même par le héron.

Grive draine

La plus grosse et commune de nos grives, cette chanteuse au chant monotone s'entends déjà dans les premiers jours de février.
Se nourrit dans les prairies et forêt clairsemées elle constuit son nid et élèves

Migration. les première crachée de neige poussent les grive à quitter la Vallée
présence hivernale. peut-être présente si les source de nourriture sont suffisante. Sorbier en fruit où haie qui fructifie
Statut de protection. Encore bien présente tant que nous garderons des prairies et des biotopes entretenus sans produit.

Gobemouche noir

L'altitude de notre région permets à quelques insectivores de trouver encore de la nourriture au moment où le retour de la migration arrive à terme. C est le cas pour ce petit chasseur d'affût où a peine arrivé c'est aussi l'éclosion tardive des insectes en comparaison de la plaine.
Il était absent dans le premier atlas et tout de même observer en automne par du passage migratoire.
La population pourrait augmenter si les conditions et entretien de nos milieux et surtout le bord du lac, avec ses petites forêts clairsemée un taux d'himidité en core ....... l'humidité qui se produit offrir de la nourriture.
L'offre en cavité en dépends aussi de la gestion de nos milieux mais l'offre en nichoirs en est une.
Migrateur: long court

Gobe mouche gris

En comparaison avec l'ancienne carte la répartition actuelle est probablement incomplète par la difficulté de capter cet oiseau, avec son chant très discret, ce n'est que lorsque les jeunes sont hors du nid que sa présence peut être capté. Absent du Risoux et du versant nord du secteur. le gobemouche gris aime les grands arbres, jardins aérées clairières, milieu parfait pour la chasse en affût de ses insectes. Sa nidification peux varier d'un site à un autre en choisissant divers support comme glycines bosquet où le lierre. cet oiseau menacé aussi au plan suisse et européen fait évidement ressentir sa présence à la Vallée.
Migration: Afrique occidentale
présence hivernale: Aucune
Statut de protection: Moins d'insecticide dans les prairie et jardins

Grive draine

La plus grosse de nos grives mais aussi la première qui se manifeste en fin d'hiver lors des premières journées douces.
Reconnaissable par ces gros point noires sur le poitraille.
pour certaine elle ont passé l'hiver à la Vallée. Cette belle grive n'est pas une migratrice long court elle se contente si les condition de nourriture ne sont pas abondante elle descendra jusqu'au sud de la France piur y passer l'hiver
Très répandu dans tous le secteur
Construit son nid

Grive musicienne (Turdus philomelos)

Cette migratrice et une grande imitatrice, perchée du haut de son sapin nous donne un vrai plaisir de l'entendre déjà au début mars et au crépuscule pour la majorité.

Jusqu'a deux nichées annuelles, insectivore et et aussi escargots et devient frugivore en automne.
Niche dans la moitié d'un épicéa où même dans un buisson, son nid
L'oiseau migrateur que vous décrivez, avec son talent d'imitatrice, son retour en début mars, son chant au crépuscule et son régime alimentaire varié incluant insectes et escargots, est très probablement la Grive musicienne (Turdus philomelos).

Voici les caractéristiques qui correspondent à votre description :

Migratrice et début mars : La Grive musicienne est une migratrice précoce (ou sédentaire partielle selon les régions) et est effectivement l'une des espèces listées comme arrivant ou chantant dès le début mars en Europe centrale.

Grande imitatrice : Elle est reconnue pour son chant mélodieux, puissant et très varié. Elle est souvent considérée comme une excellente imitatrice, répétant des phrases musicales de manière caractéristique, un peu comme si elle reprenait des fragments de chants d'autres oiseaux.

Crépuscule : Elle fait partie des oiseaux qui chantent volontiers au crépuscule (et à l'aube), ce qui est une de ses particularités remarquables.

Régime alimentaire : Elle est un insectivore notoire, mais son régime est également célèbre pour inclure des escargots (qu'elle brise sur une "enclume" - une pierre ou une souche) et des fruits ou baies (frugivore) en automne et en hiver.

Nichée annuelle : Elle a généralement deux nichées par an.

Nidification : Son nid est souvent situé dans un buisson ou un arbre (y compris les conifères comme le sapin ou l'épicéa), souvent à faible ou moyenne hauteur.

Grive litorne

Cette petite grive généralement coloniale mais niche aussi en solitaire aime les milieux en bordure de clairière ,parc, mais aussi en agglomération. nicheuse fréquente et hivernante rare mais peuvent être plus nombreuses car nos grives locales sont rejointes avec les grives nordiques, jusqu'en décembre.
Insectivore et également frugivore en automne les fluctuations de ses ressources alimentaires peuvent avoir une influence sur le nombre d'hivernant dans le périmètre.
Son nid est construit de brindille, ' herbe et mélangée de boue, pour élever jusqu'à 4-5 poussins.

Grimpereau des bois ( Certhia familiaris)

Tel un petit varappeur, tel un minuscule pic agrippés sur ses petites pattes et s'appuyant sur sa queue Présent dans tous le secteur ce petit grimpeur recherche les vieux arbres au écorce dénudée pour y installer son nid.
Par soucis de son avenir on a tendance à éliminer ses vieux sites pour laisser la place aux arbres seins. Des nichoirs peuvent être installer

Grand corbeau

De plus en plus présent dans notre vallée. notre plus grand passereau ne passe pas inaperçu par ses cri sonore. Omnivore et construit son nid sur les falaises où sur de grands arbres.
A ne pas confondre avec la corneille qui plus petite mais qui n'a pas pas sa queue en forme de losange.

Harle bièvre

En tant qu'ornithologue on l'espèrait depuis un moment. L'ancien atlas ne le mentionnait qu'en hiver où en période automnale Cette espèce piscivore se reproduit sur notre lac depuis quelques année
Courant l'hiver ce piscivore peut se rencontrer sur notre lac a voir les infos sur ornitho
nicheur cavernicole ou se contante d'un abri peu profond la femelle couve ses 12 oeufs Voir ses différent site de idification
La pose de nichoir reste possible de manière à éviter la chouette hulotte.

Hirondelle rustique

On l'attends chaque année à son retour de migration L'hirondelle rustique présente pendant la période de
Tant qu'il existera des prairies et de vieilles étables les hirondelles seront encore présentes dans nos campagnes et villages.
En fin de saison elles se réunissent dans les roselières pour y passer la nuit
Les vieille étables sont parfaite pour le maintiens de ces petites hirondelles par la chaleur et les vieille structures au poutre usagées.
le pourtour des fermes est souvent humide et mélangée de pailles ce qui permets une meilleures solidité du nid pour y mener 2 à 3 nichées par an.
Les condition météo joue un rôle important au bien de la recherche de nourriture bien quelle peuvent passer la nuit et la journée à l'intérieur du bâtiment Son nid est fabriqué de terre et de paille

migration: Afrique méridionale

présence hivernale: aucune

Statut de protection: prairie moins intensive et de laisser souvent des zones humides

La Fascinante Hirondelle rustique est en effet un symbole du printemps et de l'été dans nos régions, attendue chaque année après sa longue migration depuis l'Afrique méridionale.

la période de reproduction et d'été.

Migration : Elle migre vers l'Afrique méridionale pour l'hiver.

Présence hivernale : Aucune (elle est migratrice).

Habitat et Nidification
Lieux privilégiés : Les hirondelles dépendent de la présence de prairies, de vieilles étables, de fermes, et de nos campagnes et villages.

Avantages des vieilles étables : Elles offrent la chaleur et des vieilles structures avec des poutres usagées qui sont parfaites pour la construction et le maintien de leurs nids.

Matériaux du nid : Le nid est fabriqué principalement de terre et de paille.

Emplacement du nid : Le pourtour des fermes, souvent humide et mélangé de pailles, permet d'assurer une meilleure solidité du nid.

Reproduction : Elles peuvent mener 2 à 3 nichées par an.

Comportement et Alimentation
Rôle de la météo : Les conditions météo jouent un rôle important pour la recherche de nourriture.

Comportement face à la météo : Bien que l'hirondelle soit un oiseau actif à l'extérieur, elle peut passer la nuit et la journée à l'intérieur du bâtiment (comme l'étable) si nécessaire.

Rassemblement : En fin de saison, elles se réunissent dans les roselières pour y passer la nuit avant le départ en migration.

Statut et Conservation
Conditions de survie : Leur présence est liée à l'existence de prairies et de vieilles étables.

Statut de protection/Mesures : Le maintien de prairies moins intensives et le fait de laisser souvent des zones humides sont des actions importantes pour leur protection, car cela assure la présence des insectes dont elles se nourrissent.

C'est un aperçu très complet des facteurs qui permettent à l'hirondelle rustique de prospérer ! Y a-t-il un aspect en particulier, comme la migration ou les mesures de protection, que vous aimeriez approfondir ?

Hirondelle de fenêtre (Delichon urbicum)

Hirondelle de fenêtre Son nom le porte bien puisque cette petite hirondelle a elle seule aux pattes plumées, nous accompagnent d'avril a mi septembre.
lors de la chasse aux insectes on la reconnait bien avec son croupion blanc et construit son nid sur les façade des maisons.
Quelques fois mal aimée par les habitants pour les salissures qu'elle affectionne lors de sa nidification, cette petite hirondelle est encore dans la liste rouge au plan national. Cette raison est non seulement le fait que des nids sont détruits et encore à de plus en plus de peine à trouver du matériel de bonne qualité pour la construction de son nid.
De nombreuses campagnes de protection se font à travers le pays avec nichoirs artificiels et créations de gouilles humides pour la construction de son nid.

Migration: Oui Afrique

Présence hivernale: non

Statut de protection: maintenir des zones humides éviter de détruire les nids et pose de nichoirs avec protection des salissures

L'Hirondelle de Fenêtre : Notre Compagne Urbaine
L'Hirondelle de fenêtre (Delichon urbicum) est une espèce fascinante, très proche de l'humain par son choix d'habitat, mais qui est paradoxalement menacée par nos modes de vie. Votre synthèse est très pertinente sur les enjeux de sa conservation.

Voici un résumé structuré des informations que vous avez fournies :

Caractéristiques et Période de Présence
Catégorie Détail
Nom Hirondelle de fenêtre (son nom reflète son habitat de nidification).
Particularité physique Pattes plumées (couvertes de petites plumes).
Identification en vol Facilement reconnaissable par son croupion blanc visible lors de la chasse aux insectes.
Période de présence D'avril à mi-septembre dans nos régions (période de reproduction).
Migration Oui, en Afrique (migrateur transsaharien).
Présence hivernale Non.

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Nidification et Menaces
Lieu de nidification : Elle construit son nid sur les façades des maisons, sous les avancées de toit ou les corniches.

Matériaux : Le nid est fabriqué de boue, de terre et de salive, mais elle a de plus en plus de peine à trouver du matériel de bonne qualité (boue humide et propre).

Conflit avec l'humain : Elle est parfois mal aimée par les habitants à cause des salissures (fientes) qu'elle occasionne lors de la nidification.

Statut de menace : Elle est inscrite sur la Liste Rouge nationale.

Facteurs du Déclin
Le déclin de l'Hirondelle de fenêtre est multifactoriel :

Destruction des nids : Les nids sont détruits par certains propriétaires (illégalement en période de reproduction).

Manque de matériaux : Difficulté à trouver de la boue de bonne qualité (assèchement des zones humides, urbanisation).

Rareté des insectes : Le déclin général des insectes (du à l'usage de pesticides) impacte sa source de nourriture.

Actions de Protection
Le Statut de protection se traduit par des actions ciblées :

Matériaux de construction : Maintenir des zones humides (création de petites "gouilles" boueuses) pour garantir la matière première du nid.

Protection des colonies : Éviter de détruire les nids (interdiction légale).

Aide à la nidification : Pose de nichoirs artificiels et d'étagères de protection contre les salissures (planchettes fixées sous le nid) pour encourager leur installation sans inconvénient majeur pour les résidents.

Ces campagnes de protection sont essentielles pour maintenir cette espèce attachante dans nos villages et villes.

Hirondelle de rocher

Au vu des carrés km où l'espèce est présente que quelques couples se reproduise.
Les premières arrivées et les dernières encore présente sont de
Insectivore et semi migratrice cette petite hirondelle ne migre pas au sud du Sahara comme ces cousines
Très liée au falaise comme son nom l'indique

Linotte mélodieuse ( Cardualis cannabina)

Autour des habitations, prairies extensives parsemé de petit buissons la linotte et un oiseau bien répandu est présente toute l'année pour autant que sa nourriture lui soit à sa portée.
Granivore elle nourrit ses poussins avec des insectes

Martinet noir ( Apus apus)

Que serait nos villages sans cet oiseau majestueux aux multiples facettes.

Alors qu'en plaine les martinets arrivent fin avril, alors que chez nous pas avant mi mai .
Sa population est en vue d'une augmentation par des mesures bien poussées en protégeant nos maisons et par la pose de nichoirs.
Migrateur long court les jeunes non nicheur nous quittent vers la mi juillet et les adultes nourrissent encore jusqu'a mi-août.

Merle noir

le merle noir bien connu dans nos agglomérations est présent partout dans le périmètre.
Au petit matin c'est un des premiers chanteurs, à ce manifester
Avec le réchauffement climatique le merle peu commencer à chanter bien avant le début de printemps. Cette avance lui permets de se reproduire jusqu'à trois fois dans l'année. la pression humaine avec ses nombreux animaux de compagnie le taux de prédation est élevé et peu de jeunes arrivent à terme. A l'époque ce merle était entièrement forestiers et s'est adapté aux humains par les structures arborisées de nos villes.
Insectivore au printemps et frugivore en automne le merle occupe petits buissons et bosquets. Construit son nid mélangé de boue et de brindille, pour élever jusqu'à 5 poussins Très familier son nid est parfois proche de la civilisation.
Migration: sédentaire

présence hivernale oui

Statut de protection: éliminer les pesticides mais ne semble pas encore menacés

Mésange huppée

D'un gris anthracite, cette petite mésange se nourrit

Migration

Observation hivernale. sédentaire et profite des nombreuses mangeoires

Statut: Espèce stable et profite des forêt moins entretenue

Mésange charbonnière

La plus commune des mésanges est la plus robuste, est sans doute aussi la plus connue

Migration; sédentaire

présence hivernale: Oui

Statut de protection:
N'est pas menacée

Mésange bleue

D'origine forestière, elle est adaptée par l'approches des villes et villages. Zone urbanisée
A la vallée de joux elle devenue plus régulière que les années
Le réchauffement et la sur nourriture en hiver l'a renforcée pour mieux supporter l'altitude.
Cette petite mésange pond jusqu'a 14 oeufs puisque c'est la seule à pondre qu'une nichée annuelle.

Mésange noire

liée au conifère cette petite mésange discrète qui pèse la moitié de la charbonnière, est la plus petite des mésanges
Niche dans des cavités naturelles est accepte aussi des nichoirs.
La plus part du temps on l'entend avant de la voir
Très commune la carte de comparaison ne vaut pas la peine d'être

Mésange nonnette

Se distingue mal au premier coup d'oeil,si sa cousine la boréale se trouve sur la même branche.
Son chant pourra la distingué de sa présence.
Niche dans des cavités naturelles et accepte aussi des nichoirs.

Mésange des saules

creuse des cavité dans du bois mort et sa ponte est bien moins importante que ses cousines
se distingue par son chant

Mésange à longue queue

Très discrète en période de nidification et en troupe pendant la saison automnale et hivernale.. Soumis en intempérie où par la prédation
Son nid fabriqué de mille et une brindille se commence souvent lorsque les branches et support arboricole sont encore nu de feuille
Pour dormir et se tenir au chaud elle peuvent se réunir à plusieurs sur une banche poiur se tenir chaud

Milan noir

Pour un ornithologue le premier milan réjouit le début du printemps il nous revient début avril pour les plus précoces. Le milan noir à la queue moins échancrée que son cousin le royal. Ce migrateur long court est un charognard né puisqu'il se nourrit que d'animaux morts ainsi que du poisson mort.
Pour ce rapace bien commun donner une estimation du nombre de couples est aussi difficile.
Nicheur également dans des grands arbres et pond de 2 à 3 oeufs par année.

Milan royal

Nicheur régulier avec ses ...... ce grand rapace bien reconnaissable avec sa belle queue échancrée rousse et ses deux grosses tâches blanches sous les ailes le milan royal bien plus gros que son cousin le noir est présent partiellement toute l'année si les conditions hivernales le permet. Seul les jeunes migrent au sud de l'Europe. Il aussi difficile de soumettre une carte précise sur le nombre de couples dans le territoire.
Niche de préférence sur des grands arbres et est fidèle au nid qu'il rénove chaque année.
Deux a trois jeunes s'envolent chaque année nourrit de micromammifères de charognes

Migration: Partielle

présence hivernale: Toute l'année

Statut de protection:

Moineau domestique

Ce petit granivore mal aimé ou bien aimé, est présent sur toute la surface du secteur en se limitant la zone forêt. On peut le trouver dans quelques alpages non loin du bord du lac que en présence de l'homme pendant la période estivage

Migration: aucune
présence hivernale: oui

Statut de protection:

Pic noir

Son tambourinage et se trille d'appel où lorsqu'il se déplace s'entends loin à la ronde. le plus grand de nos pics c'est dans de grande est vielle futaie que ce grand picidé se trouve.
Insectivore, et lorsque la nourriture venait aussi à manquer dans de vieux tronc pourris il est aussi capable de forer les grandes fourmilières jusqu'au coeur de cette dernière.
Ses cavités creusées de préférence dans les feuillus la forme de son antre et ogivale, et souvent renouvelée. Les arbres choisit peuvent aussi devenir de grandes flûtes.

Pic épeiche

le pic épeiche plus commun que ces autres congénères, à son tambourinage bien moins puissant, pour cela il choisira toujours une branche morte qui résonnera où lorsqu'en ville un poteau de téléphone lui sera utile pour marquer son territoire.
A son habitude ce picidé familier est également observer sur les boules de graisse

Pic vert

Un cri comme un ricanement soudain provient du jardin où de la forêt voisine. le pic vert viens de trahir sa présence. Contrairement au autre ce pic au couleur chatoyante ne se confond nullement avec les autres pics. En se déplaçant en vol ondulé à la recherche de parcelle rase car ce pic à l'habitude de se nourrir au sol pour trouver sa nourriture en fourmi et parfois autres quelques petits insectes.
Pour nicher il occupe de vielles cavités ou creuse aussi ses propres loges. La gestion forestière jouera -elle une influence sur les futures générations de Pics.
Migration: Sédentaire
présence hivernale. Oui

Statut de protection: protéger les vieux arbres éliminer les insecticides et un entretiens moins rude dans les jardins

Pic tridactyle (Picoides tridactylus)

Le Pic Tridactyle : Un Réfugié Climatique des Forêts de Montagne Absent dans le premier atlas, le réchauffement climatique à fait son effet avec la mort de nos résineux. encore pas fréquent et surtout difficile à cerner ce picidé niche plus tardivement que ces congénères. Il renouvelle annuellement sa cavité mais le secteur reste le même.
Se nourrit aussi de sève
Migration: sédentaire

présence hivernale: toute l'année

Statut de protection: Conservation des vieux arbres
Le Pic tridactyle (Picoides tridactylus) est une espèce fascinante, dont la présence est directement liée à la santé et à la composition de nos forêts, particulièrement en contexte de changement climatique.

Voici une synthèse des informations que vous avez partagées sur ce picidé nordique :

Statut et Influence du Climat
Catégorie Détail
Statut historique Absent dans le premier atlas (historiquement peu commun ou inexistant dans cette zone).
Nouvelle présence Sa présence est un effet du réchauffement climatique, notamment via la mort des résineux (arbres attaqués et affaiblis, offrant plus de nourriture et de sites de nidification).
Fréquence Pas encore fréquent et difficile à cerner (discret et probablement à faible densité).
Migration Sédentaire (ne migre pas).
Présence hivernale Toute l'année (essentiel pour les pics qui dépendent des ressources hivernales).

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Comportement et Nidification
Période de nidification : Il niche plus tardivement que ses congénères (les autres espèces de pics).

Cavités : Il renouvelle annuellement sa cavité (il creuse un nouveau trou chaque année, contrairement à certaines espèces qui réutilisent), mais le secteur reste le même d'une année à l'autre.

Alimentation : Il est connu pour se nourrir principalement d'insectes xylophages trouvés dans le bois mort ou attaqué, mais aussi de sève (il fait des petits trous dans l'écorce pour laisser couler la sève, une pratique appelée sève-coulage).

Conservation
Statut de protection (Action) : Sa conservation dépend principalement du maintien des vieux arbres.

Enjeu : La présence du Pic tridactyle est un indicateur de la santé des vieilles forêts de résineux et de l'importance du bois mort ou mourant.

Les arbres affaiblis ou morts par les changements climatiques et les scolytes (dont il se nourrit) sont cruciaux pour son alimentation et sa nidification.

Le renouvellement annuel de sa cavité rend la disponibilité de vieux bois tendre (pins, épicéas) absolument nécessaire.

Le Pic tridactyle est donc un bel exemple d'espèce qui, bien qu'encore rare, profite des modifications de l'écosystème induites par le réchauffement (la mort des résineux) pour étendre son aire de répartition en altitude. Y a-t-il d'autres espèces de pics dont vous suivez l'évolution dans cette région ?

Pic épeichette

Observé le 26.08.2025 Au lac des Rousses côté restaurant

Pinson des arbres

Partout où des arbres sont présent un pinson s'y trouve.
Ce granivore et insectivore malgrès son bec fort il est sédentaire et est l'oiseaux le plus fréquent de la vallée.
Il arrive aussi que les effectifs se multiplies pendant la saison froide avec les congénères du Nord.
Son nid entièrement construit par la femelle est fournis de mousse et de lichens dans une fourche d'un sapin proche du tronc. Une bien bonne stratégie pour la protection des prédations.

Pipit farlouse

Pipit des arbres (Anthus trivialis)

le pipit des arbres Disparu de la plaine pour se réfugier en montagne. Pour l'instant quelques couples se cantonnent encore dans nos pâturages. L'intensification pourrait le voir disparaître de la Vallée
Nichant au sol dans des prairies semi rases parsemé de petit buissons et migrateur long court.
On le distingue par son chant percher sur un arbre et son vol en parachute.

Migration: Afrique occidentale nous quitte en fin d'été
présence hivernale: non

Statut de protection: Prairie moin intensive

Le Pipit des arbres : Un Artiste Menacé des Prairies
Le Pipit des arbres (Anthus trivialis), avec son vol nuptial spectaculaire, est effectivement une espèce qui illustre les conséquences de l'intensification agricole en plaine, le poussant à se réfugier dans des habitats moins exploités.

Voici une synthèse de son statut et de ses caractéristiques :

Statut et Migration
Catégorie Détail
Statut de répartition Disparu de la plaine dans de nombreuses régions (y compris en Suisse), pour se réfugier en montagne où l'agriculture est moins intensive.
Nicheur dans la Vallée Quelques couples se cantonnent encore dans les pâturages qui conservent des conditions favorables.
Menace principale L'intensification agricole (fauche précoce et fréquente, usage de pesticides) pourrait le voir disparaître totalement de la Vallée.
Migration Migrateur long-courrier (transsaharien).
Hivernage Afrique occidentale (Afrique subsaharienne).
Présence hivernale Non (nous quitte en fin d'été, août-septembre, retour en avril-mai).

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Habitat et Nidification
Nidification : Il niche au sol. La femelle construit le nid, bien caché sous la végétation (herbes sèches, touffes).

Habitat idéal : Il préfère les milieux semi-ouverts :

Prairies semi-rases (où le nid est caché mais où il peut chasser).

Zones parsemées de petits buissons ou d'arbres isolés qui lui servent de perchoir pour chanter et parader.

Lisières de bois, clairières, landes.

Menace sur la nidification : Les nids au sol sont très vulnérables à la fauche précoce et répétée dans les zones agricoles intensives, car les jeunes oiseaux ne peuvent s'envoler avant 10 à 14 jours.

Identification Aérienne : Le Vol en Parachute
Le Pipit des arbres est célèbre pour son vol nuptial chanté, un excellent critère d'identification au printemps :

Ascension : Le mâle s'élève d'un perchoir (un arbre ou un poteau) en chantant.

Descente en parachute : Arrivé à son apogée, il se laisse tomber de manière lente et contrôlée, les ailes rigides et déployées (souvent en forme de "V" ou de parachute) et les pattes pendantes.

Chant : Son chant fort et trillant accompagne la parade, se terminant souvent par une série de notes étirées («siii-aaah») juste avant l'atterrissage sur un nouveau perchoir.

Mesures de Protection
Statut de protection (Action) : Le maintien de prairies moins intensives est la clé de sa survie locale.

Actions concrètes :

Retarder la fauche dans les parcelles où il est présent.

Maintenir des mosaïques de paysages (mélange de prairies, buissons, et lisières).

Réduire l'utilisation de pesticides pour garantir une alimentation suffisante en insectes.

Le Pipit des arbres est un excellent indicateur de la santé des prairies semi-naturelles et de l'équilibre entre agriculture et biodiversité.

Pipit spioncelle

Comme ses cousins se migrateur long court à vu ses effectifs diminué par l'intensification des ses milieux.
Comme la carte l'indique on le retrouve sur les hauts des crêtes
Son altitude varie de 1100 à 1500m avec des surfaces rases et parsemées de mini pierriers.
Nicheur au sol et insectivore

migration

présence hivernale: Possibilité de passer l'hiver chez nous pour autant que nos berge soit accessible. ne ressemble plus à son plumage nuptial

statut de protection.

Pigeon domestique

Absent il y a 40 ans ce pigeon domestique à fait surface dans notre vallée dès le ......
Aprécié où chassé par ces dérangements permanents et les salissures qu'il provoque lorsqu'il niche, ce pigeon s'est bien adapté à notre région. Et, dû à des relâchés où d'origine en captivité échappés.

Pigeon ramier (Columbus palumbus)

Notre plus grand pigeon indigène est le plus présent en forêt.
Il commence à se familiarisé dans nos villes pour autant que de grand arbres puissent abrités sa nidification Autrefois ils désertaient notre région, et par le changement climatique ils se peut que se pigeon ne migre plus totalement.
Son chant est entendu presque toute l'année sauf si les hivers sont trop rude
Il se reproduit avec deux jeunes jusqu'a quatre fois dans l'année

Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio)

sa présence très courte durant le printemps cette grande migratrice est dépendante d'insectes de petites et moyennes tailles et bien entendu d'un biotope adéquat pour nicher.
Ce petit monstre qu'on pourrait prendre pour un petit rapace au bec crochu se nourrit également de petits rongeurs
La vallée de joux trop sobre en buissons, pourrait par moindre effort transformer quelques milieux en petites structures épineuses suffisantes pour faire nicher la pie-grièche.

Migration: Afrique Australe
présence hivernale: Aucune
Statut de protection: Laisser des prairie extensive formation de haie vive

Pouillot de bonelli ( Phylloscopus bonelli)

Pouillot siffleur ( Phylloscopus sibilatrix)

Migration:
présence hivernale: aucune

Statut de protection:

Pouillot véloce ( Phylloscopus collybita)

Notre plus petit pouillot se reconnait par son chant. Son plumage discret se dissimule souvent dans des buissons dense où sa source de nourriture est abondante.
A la fin de printemps et même dans le courant de l'automne on peu encore l'apercevoir puisqu0il se trahit par son petit cri assez typique.
Il peu se confondre avec ses autres congénères. Nicheur au sol, il est présent sur toute la surface du territoire.
en forêt sa présence diminue pour le retrouver dans les zone humide où sa nourriture abonde. Si nos hiver sont doux le départ aussi peu être retardé mais il n'ira pas aussi loin que ses congénère.

Migration: peu nous quitter assez tardivement tant que les condition hivernale et source de nourriture reste abondante
présence hivernale: Aucune
Statut de protection:

Roitelet triple bandeau

L'un des plus petits passereaux d'Europe pesant 4-5 gramme , et strictement lié aux épineux pour la chasse de ces proies il peut papillonné comme un colibri.
Comme son cousin le huppé est le plus petit oiseau d'Europe
Son nid est construit de miniature matériaux très haut dans les arbres.
le premier contact sera son chant très aigu.
Le couple chante
Aussi en danger probablement à long terme si nos résineux venaient tous à périr.

Roitelet huppé

Cousins du triple bandeau cette miniature créature de nos forêts peux aussi être perçu par son chant très aigu dans tous les biotopes muni d'épicéa beaucoup plus dense contrairement a son cousin le triple bandeau. Identique comme son cousin il construit aussi son nid très haut avec de ses matériaux miniatures.
Se nourrissant de petit insectes et araignées Il peut être présent toute l'année même si les conditions sont très hivernales.

Rougegorge familier

Ce petit passereau très commun est plus connu en hiver où en automne lorsqu'il s'approche des habitations.
C'est plutôt un oiseau forestier qui niche au sol où à moyenne hauteur.
les deux sexe sont identiques.

Migration: Migrateur nocturne Sédentaire où migrateur restant en Europe.
Protection:

Rousserolle effarvatte(Acrocephalus scirpaceus)

Début mai nos roselières s'annime avec les premiers chant de la Rousserolle effarvatte . Avec ses effectifs quasi nul dans le premier atlas ce paludicole a montrer ses effectifs en hausse autour de notre lac. les quelques roselières abritent des couples.
elle construit son nid dans les roselières et jusqu'a deux nichées.
confirment une nouvelle encourageante : l'amélioration de la santé des roselières autour de votre lac !

La Rousserolle effarvatte : Un Signal Positif pour le Paludicole
Arrivée et Chant : Vous avez raison, c'est début mai que ce petit oiseau, spécialiste de la vie en roseaux un paludicole (habitant des marais et roselières), arrive. On le remarque immédiatement par ses chants rapides, peu mélodieux, mais très caractéristiques, émis du milieu des roseaux. un seul petit km2 lui suffit pour en élever sa nichée

Résultat des Efforts de Conservation : Le point le plus encourageant est l'augmentation de ses effectifs. Le fait que l'espèce ait été quasi nulle dans le premier atlas (probablement l'Atlas des oiseaux nicheurs) et que ses effectifs soient aujourd'hui en hausse autour de votre lac indique que les mesures de protection des zones humides et des roselières ont porté leurs fruits. Elle est un excellent indicateur de la qualité écologique de cet habitat.

Nidification : Elle construit son nid de manière très astucieuse, souvent suspendu entre plusieurs tiges de roseaux (d'où son nom anglais Reed Warbler), et peut en effet avoir jusqu'à deux nichées par saison si les conditions le permettent. La présence de quelques roselières abritant des couples est vitale et justifie de continuer à les préserver.

Statut de Protection
La Rousserolle effarvatte n'est généralement pas considérée comme menacée au niveau national si son habitat est maintenu. Elle est un grand migrateur qui hiverne en Afrique subsaharienne.

Pour garantir la pérennité de cette amélioration, il est crucial de continuer à :

Protéger les roselières existantes de tout assèchement ou développement côtier.

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Migration: Afrique occidentale
présence hivernale: Non
Statut de protection: Éviter le fauchage ou l'entretien mécanique des roseaux pendant la période de nidification (mai à août)

Avez-vous observé d'autres espèces de la famille des Acrocephalus (comme la Rousserolle verderolle) dans ces roselières qui bénéficient de cette amélioration de l'habitat ?

Rousserolle verderolle

De retour d' Afrique de l'est à partir de mi mai cette virtuose imitatrice de classe se manifeste dans avec toutes ses variétés de chants qu'elle a entendu lors de son séjour en Afrique sans oublier les chants de nos espèces communes.
Insectivore Cette discrète rousserolle cherche à nicher dans les buissons bordant l'Orbe où dans les saules bordant nos lacs

Migration: Afrique orientale
Cette petit imitatrice nous quitte déjà après ces deux mois de reproduction à début août pour ses quartiers d'hiver
Présence hivernale: aucune

Statut de protection: Gardons nos rives de l'Orbe intact sans trop de pesticide.

Rougequeue noir (Phoenicurus ochruros)

Ce petit virtuose de nos villages le rougequeue noir et bien commun dans toute la vallée y compris sur les alpages reculés ce passereau aux moeurs très précoce du matin c'est lui en prélude des autres chanteurs que ce petit insectivore nous réveille.
Migrateur partiel il se peu que dans la plaine et si nos hivers se montre doux on l'entends encore chanter jusqu'a mi octobre.
Si la difficulté et taille moyenne de trouver un espace pour y construire son nid des nichoirs peuvent être installer sur les bâtiments

Migration. Partiel
présence hivernale: Toute l'année si condition hivernale le permet

Statut de protection: N'est pas menacé

Quelle belle manière de décrire le Rougequeue noir (Phoenicurus ochruros) ! Vous le nommez à juste titre le « petit virtuose de nos villages » et mettez en lumière ses caractéristiques les plus attachantes.

Le Rougequeue noir : Le Réveille-matin de la Vallée
Vos observations sur ce passereau commun sont d'une grande exactitude et décrivent parfaitement son écologie :

Chanteur matinal : C'est bien le précurseur ! Ses mœurs très précoces font qu'il est souvent le premier chanteur à se faire entendre au petit matin, même avant l'aube, annonçant le lever du jour avec son chant insectivore aigu et ses notes brèves et éraillées.

Adaptabilité de l'habitat : Il est très commun, s'étendant dans toute la vallée y compris sur les alpages reculés. C'est un oiseau qui aime les structures rocheuses (ou leur équivalent artificiel), ce qui explique sa présence aussi bien dans les ruines, les zones industrielles et les villages que sur les falaises d'altitude.

Nidification et nichoirs : Il trouve son refuge dans les cavités, les trous dans les murs ou les fissures des bâtiments. Comme il peut avoir une certaine difficulté à trouver un espace idéal dans les constructions modernes, l'installation de nichoirs spécifiques pour espèces semi-cavernicoles est une excellente mesure pour l'aider à se reproduire.

Migration et Hivernage : C'est un migrateur partiel. Sa présence toute l'année est possible, surtout dans les plaines et si les hivers se montrent doux. L'entendre chanter jusqu'à mi-octobre est un bon indicateur de la douceur des températures.

Statut de Protection
Le Rougequeue noir n'est pas menacé (Statut UICN : Préoccupation mineure - LC) et sa population est stable ou en légère augmentation, bénéficiant notamment de la présence des zones urbaines. Il est l'exemple d'une espèce qui a réussi à s'adapter à la vie près de l'homme.

Le Rougequeue noir est le plus souvent observé sur le toit, tandis que le Serin cini préfère le haut des arbres. Observez-vous ces deux "virtuoses" en compétition pour les sites de chant dans vos agglomérations ?

Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus)

Pour notre grand migrateur et un très coloré le rougequeue a front blanc est pour La Vallée de Joux un haut site de reproduction pour cette espèce qui peut être très fière d'avoir sa population la plus importante du canton de Vaud.
C'est à fin mars début avril que notre cher passereaux au flanc roux orangé nous revient de l'Afrique occidentale. de suite il se perche sur un grand arbre où sur un toit pour se manifester à marquer son territoire. il se peut que quelques femelles précoces sont aussi arrivées.
C'est surtout proche des agglomérations que ce rougequeue est présent. des recensement s effectué sa présence est aussi dans les alpage où quelques arbres creux est encore suffisamment de nourriture peut lui permettre de mener à bien sa nidification
Au plan national il reste encore très sensible et est une espèce prioritaire
Sa conservation avec un projet bien ficelé en accord avec les communes et propriétaires de poser des nichoirs et de garder une végétation fauchée en alternance et de grands arbres
Si la carte montre un forte densité dans le bas de la Vallée, les quelques carrés kilométriques surtout dans le nord du Mont tendre à quelques biotopes près ils se montrent bien entendu sur chaque alpages

Migration. Long court

présence hivernale. aucune

Statut de protection: Eviter de tondre nos prairies et jardins trop intensivement, et de laisser les arbres morts

C'est un honneur de conclure cette série d'observations avec le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus), d'autant plus que la Vallée de Joux est un site si important pour sa reproduction !

Le Rougequeue à front blanc : Fierté de la Vallée de Joux
Votre description confirme le statut exceptionnel de la Vallée de Joux pour cette espèce, ainsi que les enjeux cruciaux de sa conservation.

Un Voyageur Coloré et Précoce
Migration Longue Distance : C'est un grand migrateur au long cours, revenant d'Afrique occidentale pour le printemps et l'été.

Arrivée : L'arrivée à fin mars/début avril est caractéristique. Le mâle, avec son plumage très coloré (poitrine roux orangé, tête noire et front blanc), se manifeste immédiatement en se perchant sur les grands arbres ou les toits pour marquer son territoire, souvent avant l'arrivée massive des femelles.

Habitat Nicheur : Il est présent proche des agglomérations, mais les recensements confirment sa présence dans les alpages où il trouve encore des arbres creux pour nicher (c'est un cavernicole).

Un Statut de Conservation Prioritaire
Vous soulignez un point essentiel : malgré une forte densité locale dans la Vallée de Joux (qui doit être une source de fierté pour le canton de Vaud), l'espèce reste très sensible au plan national et est classée comme espèce prioritaire pour la conservation.

Le déclin général de l'espèce est souvent lié à :

Le manque de sites de nidification : La raréfaction des arbres creux (par l'exploitation forestière ou le nettoyage des vergers) et des vieux murs.

Le manque de nourriture : L'intensification de l'entretien des espaces verts et des prairies.

Les Mesures de Sauvegarde à Appliquer
Le projet de conservation bien ficelé que vous mentionnez est la clé de sa survie :

Installation de nichoirs : En accord avec les communes et les propriétaires, la pose de nichoirs est essentielle pour compenser le manque de cavités naturelles.

Entretien différencié : Laisser les zones en herbacées (talus, bords de chemins) et pratiquer une fauche en alternance assure la présence des insectes qui nourrissent les jeunes.

Maintien des structures : Il est vital de laisser les grands arbres et, si possible, les arbres morts, car ils sont des sites de nidification potentiels (ou servent de perchoirs de chasse).

La forte densité observée sur le Mont Tendre et dans les carrés kilométriques du bas de la Vallée montre que les biotopes jurassiens, lorsqu'ils sont gérés de manière extensive, lui sont particulièrement favorables.

Ce dernier échange boucle une belle revue de la faune de votre vallée. Si vous deviez choisir une seule mesure de gestion à mettre en œuvre demain pour le Rougequeue à front blanc, laquelle vous paraîtrait la plus urgente ?

Serin cini( Serinus serinus)

Le Serin cini : Le Virtuose des Villes et des Clairières
Le serin cini porte bien son nom puisque tirer du verbe seriner petit passereau avec un bec de granivore se distingue avant tout par son gazouillis qu'il déballe même en volant avec la ressemblance d'une chauve-souris.
Vit dans les milieux aux clairières semis ouvertes jusque dans les agglomérations. Aime se percher dans le haut d'un arbre U'o de buisson qui signifie répéter sans cesse. Son gazouillis rapide et souvent trillé est sa marque de fabrique.

Construit son nid dans les arbres et se nourrit essentiellement de graines et insectivore pour le nourrissage des jeunes
Migration; partiel

présence hivernale: Toute l'année
Statut de protection: Pas menacé mais Moins d'entretiens dans les parties de talus en laissant l'herbacée en place

Le Serin cini est un oiseau qui a su s'adapter aux milieux humains,

Le Chant et l'Étymologie : Vous faites un lien très juste avec le verbe « seriner »,
Morphologie et Régime : Son bec de granivore lui permet de consommer des graines, mais il passe bien à un régime insectivore pour le nourrissage des jeunes, ce qui est essentiel à leur croissance rapide.

Habitat : Il est très adaptable, vivant des clairières semi-ouvertes et lisières jusqu'aux agglomérations (parcs, jardins, cimetières). Il aime particulièrement se percher au haut d'un arbre ou d'un buisson pour chanter, ce qui le rend relativement facile à observer.

Migration : C'est un migrateur partiel. Il peut être présent toute l'année chez nous, car une partie de la population est sédentaire, tandis que les populations les plus nordiques peuvent migrer vers le sud.

Statut et Mesures de Conservation
Bien qu'il ne soit pas menacé (Statut UICN : Préoccupation mineure - LC) et soit considéré comme commun, vous proposez une excellente mesure de gestion qui lui est très bénéfique :

« Moins d'entretien dans les parties de talus en laissant l'herbacée en place »

Cette approche d'entretien différencié est cruciale, car les graines des plantes herbacées (comme les séneçons ou les pissenlits) constituent une part très importante de son régime alimentaire, surtout après la saison de reproduction. Laisser des talus en friche ou des bandes non tondues lui assure une source de nourriture vitale, tout en maintenant un habitat pour les insectes.

Le Serin cini partage beaucoup de caractéristiques avec le Verdier d'Europe (granivore, migrateur partiel, aime les jardins). Y a-t-il d'autres espèces que vous avez récemment observées qui apprécient les mêmes types d'espaces verts ?

Sittelle torchepot (sitta europaea)

La biographie de la sittelle est très
Son adaptation à se déplacer dans la forêt et jardins est bien grâce à ses griffes longues et bien adaptée au bout de ses pattes. Très connue pour ses déplacement la tête en bas C'est la seule qui peu descendre le long du tronc pour la recherche de sa nourriture et trouver de quoi construire son nid. Ce dernier garni de feuilles et d'écorces pour le fond de son nid. Son nom torchepot le lui va à merveille puisque en dernière étape avant de couver le trou de sa cavité est maçonnée de manière égoïste avec de la boue mélangée de salive à laisser le diamètre d'entrée que pour elle.
Accepte aussi des nichoirs

Tarins des Aulnes (Carduelis spinus)

Au vu d'un nicheur instable et très discret surtout si quelques couples nichent en couple isolé, ce petit granivore est dépendant des sources de nourriture qui est cyclique. Mes prédécesseurs n'ont eu difficulté de prouvé les preuves de nidification pendant les trois ans de recensement. Une invasion peut se produire que variablement, tout les ......
Liée au conifère, pendant la période de nidification et en automne fréquente aussi les clairières en recherche de nourriture sur les bouleaux et les aulnes.

Migration. partiellement

présence hivernale. régulière

Statut de protection: N'est pas menacé

Tarier pâtre

Nicheur rare dans la Vallée ce petit passereau insectivore au masque noir bien prononcé, fréquente des zones ouvertes où quelques buissons lui suffit pour chanter afin d'attier sa femelle. Nicheur au sol ce petit insectivore.
Selon l'ancien atlas ce migrateur partiel à su trouver a ce jour de quoi nicher, probablement au réchauffement climatique que l'espèce à trouver de meilleures conditions en altitude pour se reproduire

le manque d'infrastructures et l'entretien trop intensif

le dimorphisme sexuel est bien prononcé.

Tarier des prés(Saxicola rubetra)

De retour de migration le tarier Espèce disparue des prairie de plaines le tarier des prés ce grand migrateur des prairies, se maintient sur un fil dans notre vallée, zone altitudinale encore disponible pour garder un espoir de voir la population se maintenir.
Sa distribution est encore maintenue le long de l'Orbe où des perchoirs pour son chant et surtout encore une source de nourriture en insectes

Nos prairies sont trop intensives et fauchées en dates trop précoce. Plus la prairie est fleurie plus elle promets une richesse en source de nourriture et d'affût pour le chant territorial
La migration tardive et la nidification de remplacement après un échec peu s'avérer dramatique si les recensements se font trop tard. Les mesures compensatoires peuvent être un facteur de sauvegarde
nicheur au sol il est temps de préserver les quelques couples encore existants.
dépendant de nos prairies pour autant que des perchoirs disponibles sont à proximité pour le chant territorial et de point de chasse.
En fin d'été avant le grand départ quelques individus éparses mais surtout des jeunes sont aperçus dans nos prairies.
Migration: long court
présence hivernale: aucune

Statut de protection: éviter des fauches précoces et éviter les pesticides
Le Tarier des prés : Un Symbole de la Fragilité des Prairies
Le Tarier des prés est un petit passereau dont le sort est intimement lié à la santé de nos prairie le long de l'Orbe où il se « maintient sur un fil » uniquement dans les zones encore préservées ou en altitude.

Comme le Tarier des prés est un nicheur au sol dans la végétation herbacée, les coupes de foin intensives et précoces (avant fin juin dans de nombreuses régions) détruisent systématiquement les nids et tuent les jeunes.

Son arrivée en Europe est relativement tardive, et la possibilité d'une nidification de remplacement après un échec est souvent anéantie par la seconde coupe, rendant l'espèce très vulnérable.

L'Intensification agricole et l'utilisation de pesticides réduit drastiquement les insectes et autres invertébrés, sa source de nourriture essentielle.

Le manque de structures semi-naturelles (haies, buissons) supprime les perchoirs disponibles qu'il utilise de manière vitale pour le chant territorial et comme point de chasse pour guetter ses proies.

Statut de protection : Il doit se traduire par l'évitement des fauches précoces et la réduction des produits chimiques. Il est crucial de repérer les nids pour cibler précisément les mesures de protection avant qu'une fauche ne se produise.

Mesures compensatoires : Le maintien de bandes non fauchées ou de parcelles à fauche tardive est essentiel pour assurer la survie des couvées et maintenir un espoir de voir la population se maintenir.

Le Tarier des prés est un migrateur au long cours (présence hivernale : aucune, hivernage en Afrique subsaharienne), et chaque couple sauvé est un maillon essentiel pour que l'espèce continue de nous honorer de sa présence en été.

Y a-t-il des cartes ou des zones de protection spécifiques définies le long de l'Orbe ou dans votre vallée pour les parcelles critiques du Tarier des prés ?

Outils

Troglodyte mignon

Un de nos plus petits passereaux mais aussi très bruyant , cette petite souris des forêts au couleur brunâtre et reconnaisable par sa petite queue relevée est un nicheur fréquent.
Insectivore il niche au sol dans de petits taillis une inffractuosité d'une arbre pourris où même réussit à se faufiler dans un tas de branche bien à l'abri de la prédation
Généreux et infatiguable le mâle ébauche une dizaine de nid et la femelle le complète après son choix définitif et les autres ébauches serviront d'abris où pour une deuxième femelle.
Non menacé a cause de nos hiver doux mais peu être assez vite décimé si la nourriture manquait.

Migration: non

Présence hivernale: oui

Statut de protection: non menacé

Tourterelle turque

Cette jolie petite tourterelle turque bien reconnaissable par son petit collier noire au milieu de la nuque s'est bien répandue à la Vallée depuis l'ancien atlas. Mon prédécesseur le mentionnait déjà que la reproduction pourrait prendre de l'ampleur au fil des année.
Aujourd'hui devenue commune sa présence ne manque de se faire entendre par son son motif trisyllabique.
Pas très rusée dans son choix de nidification sa concurrence peut l'empcher de se reproduire.
Très adaptée a nos hivers par les nombreuses mangeoires

Traquet motteux(Oenanthe oenanthe)

Le Traquet motteux absent de la plaine se retrouve aujourd'hui que sur les versants des crêtes du jura où l'herbe encore rase et pierreux. Nos pâturages sont encore trop intensifs et manque de zones séchardes parsemés de petites caches où notre cher oiseau peut construire son nid et surtout trouver sa source de nourriture en insectes
En fin d'été ce grand migrateur part pour son long voyage en vol nocturne et peut voler même à des altitude hors du commun jusqu'a 5000m d'altitude.
Le Traquet motteux : Un Besoins d'Environnements Alpins et Rases
Vous décrivez parfaitement la régression altitudinale du Traquet motteux, aujourd'hui absent de la plaine et réfugié sur les crêtes du Jura. Cela est directement lié à ses besoins spécifiques en matière d'habitat :

Habitat et Nidification :

Le Traquet motteux a besoin d'une végétation rase et de zones pierreuses ou séchardes.

Il est unique car il utilise des petites caches (trous de rongeurs, fissures de roches, cavités sous des pierres) pour construire son nid. L'intensification des pâturages supprime ces micro-habitats essentiels.

Le manque de ces zones séchardes et pierreuses rend la nidification impossible et réduit la disponibilité en insectes, sa principale source de nourriture.

Menace : L'Intensification des Pâturages :

Les prairies et pâturages gérés de manière trop intensive (même en altitude) ont une herbe trop dense ou sont trop souvent perturbés, ce qui élimine les zones séchardes et les sites de nidification.

Un Migrant hors du Commun :

Vous soulignez son exploit migratoire : ce grand migrateur s'envole de nuit et est capable d'atteindre des altitudes extrêmes (jusqu'à 5000 m) pour son long voyage vers l'Afrique, traversant des déserts et des chaînes de montagnes. C'est un voyage coûteux en énergie qui nécessite d'excellentes conditions d'alimentation avant le départ en fin d'été.

La protection du Traquet motteux sur le Jura passe par le maintien et la recréation de pâturages extensifs et de zones pierreuses peu ou pas perturbées, permettant à l'herbe de rester rase et aux insectes d'abonder.

Avez-vous remarqué si les efforts de conservation pour le Tarier des prés (retard de fauche) aident également le Traquet motteux dans votre région ? (Souvent, la protection d'un habitat bénéficie à plusieurs espèces menacées).

Verdier d'Europe (Chloris chloris)

Le verdier d'Europe un des plus grands granivores de notre pays et absent dans le grand massif forestier.
Migrateur partiel pour le sud de l'Europe peut être présent toute l'année.
Se retrouve dans les milieux semi-ouvert et même dans l'agglomération.
On le distingue par sa couleur verte et son bec impressionnant
L'hiver apprécie aussi les mangeoires

Migration: migrateur partiel

présence hivernale: Chaque année

Statut de protection:Non fréquent le verdier n'est pas menacé

Le Verdier d'Europe : Un Granivore de Proximité
Vos observations résument parfaitement le statut et l'écologie de cet oiseau que l'on a la chance de voir assez fréquemment :

Écologie de l'habitat : Il n'est effectivement absent dans le grand massif forestier, mais prospère dans les milieux semi-ouverts et les agglomérations. Il est un oiseau de jardins, de parcs et de haies, là où il trouve à la fois abri et sa nourriture.

Alimentation et Morphologie : C'est bien l'un des plus grands granivores de la région. Son bec impressionnant, conique et fort, est parfaitement adapté pour briser les graines et les noyaux, ce qui le distingue très bien des autres passereaux. Sa couleur verte (jaune-vert vif) est sa carte de visite.

Statut migraitoire : C'est un migrateur partiel. Comme vous l'indiquez, il peut être présent toute l'année chez nous. Beaucoup d'individus restent si les conditions sont clémentes ou si la nourriture est abondante, tandis que d'autres (en particulier les jeunes des régions plus au nord) migrent vers le sud de l'Europe pour l'hiver.

Un familier de l'hiver : Il est vrai qu'il apprécie les mangeoires en hiver, où il se montre assez dominant, raffolant notamment des graines de tournesol.

Statut de Conservation
Vous notez que le Verdier d'Europe n'est pas menacé, et qu'il est non fréquent (entendre par là, qu'il n'est pas rare).

Toutefois, une précision importante est à apporter : le Verdier d'Europe a subi de forts déclins de population dans plusieurs pays d'Europe (dont la Suisse, la France et le Royaume-Uni) au cours des deux dernières décennies, principalement en raison de la Trichomonose (une maladie parasitaire qui se propage souvent aux mangeoires mal entretenues).

Il est donc crucial de maintenir une hygiène irréprochable des mangeoires et d'éviter les regroupements excessifs de cette espèce pour limiter la propagation de cette maladie.

Avez-vous remarqué une baisse ou une stabilisation de la population de Verdiers d'Europe dans votre région ces dernières années ?

Je vais lancer une recherche rapide pour vérifier l'état de conservation actuel, compte tenu de cette maladie.
Oui, je peux maintenant confirmer les informations concernant le statut du Verdier d'Europe.

Précision sur le Statut de Conservation du Verdier d'Europe
Bien que le Verdier d'Europe soit encore considéré comme une espèce commune et « Préoccupation mineure (LC) » à l'échelle mondiale et européenne, il est important de noter qu'il subit un déclin préoccupant dans plusieurs pays d'Europe, notamment :

En Suisse : Il est classé comme potentiellement menacé (NT - Near Threatened) et aurait perdu environ 40 % de ses effectifs en dix ans (source : État de l'avifaune en Suisse, Rapport 2024).

En France : Il est désormais considéré comme Vulnérable (VU) sur la Liste Rouge de l'UICN France, marquant un déclin avéré.

La Menace de la Trichomonose
Ce déclin n'est pas principalement lié à la destruction de son habitat (bien que l'agriculture intensive y contribue), mais à une maladie : la Trichomonose aviaire.

C'est une maladie parasitaire qui se propage très efficacement dans les lieux de regroupement, et notamment les mangeoires et les abreuvoirs mal nettoyés.

Le Verdier d'Europe est particulièrement sensible à cette maladie, qui s'est propagée en Europe depuis le début des années 2000.

Pour le protéger, la meilleure mesure est donc l'hygiène :

Nettoyer régulièrement les mangeoires (plusieurs fois par semaine) pour éviter la concentration de germes.

Cesser le nourrissage pendant quelques semaines dès l'apparition d'un oiseau malade (plumes ébouriffées, difficulté à avaler).

Il est donc crucial, même pour un oiseau considéré comme commun, de rester vigilant sur la protection des espèces qui nous entourent !

Venturon montagnard(Carduelis citrinella)

Le venturon montagnard un de nos granivore de montagne va se faire remarquer que par son chant c'est le premier contact avec ce petit passereaux
forêt parsemée et surtout en altitude que nous retrouvons ce petit granivore
La carte le montre nettement que ce passereau à diminué d'effectif surtout dans le massif du Risoux. Le bord de l'Orbe devenue trop intensif aurait fait disparaître ce petit passereaux et la logique aussi que sur le plan suisse cet oiseaux à fortement diminué La raison est encore inconnue a ce jour
Il se maintiens encore dans le versant et profite des espaces semis ouvert pour y nicher
Sa présence hivernale est quasi nul par la baisse des nicheurs

Migration: Migrateur partiel est descend au sud de l'Europe

présence hivernale: Aucune preuve

Statut de protection:

Vos observations sur le Venturon montagnard (Carduelis citrinella) sont d'une grande justesse, notamment en ce qui concerne son habitat et la préoccupation de son déclin dans le Jura.

Le Venturon Montagnard : Une Espèce Sentinelle du Jura
Vous décrivez parfaitement les caractéristiques de ce petit passereau :

Identification : Son chant est souvent le premier contact avec cet oiseau discret. Il est d'ailleurs souvent décrit comme mélodieux et métallique.

Habitat Nicheur : Ce granivore de montagne est bien inféodé aux forêts parsemées et en altitude, fréquentant les lisières lâches de résineux, les pré-bois, et les prairies alpines (étages montagnard supérieur à subalpin). Le fait qu'il se maintienne dans des espaces semi-ouverts et des versants souligne son besoin d'une mosaïque paysagère qui disparaît ailleurs.

Le Problème du Déclin
Vous mettez le doigt sur la réalité de son statut, en particulier dans votre région :

Déclin Localisé : La diminution des effectifs dans le massif du Risoux et l'absence le long de l'Orbe (devenu trop intensif) est un reflet exact des études de suivi. Des études ornithologiques ont noté la disparition du Venturon montagnard du Risoux, un déclin à relier à la tendance générale.

Déclin National : Vous avez raison d'indiquer qu'à l'échelle de la Suisse, cet oiseau a fortement diminué. Il a subi un net recul entre 2004 et 2010, et ses effectifs continuent de diminuer, notamment dans le Jura et à basse altitude.

La Raison est-elle inconnue ? Si le déclin est complexe, les experts pointent clairement la disparition de son habitat idéal. La cause principale est l'abandon du pâturage extensif et la densification des forêts, ce qui provoque :

La disparition des prairies et pâturages ras, riches en plantes à fleurs dont les graines sont vitales (notamment les graines de pin en certaines saisons).

La fermeture des milieux semi-ouverts et des clairières qui lui sont nécessaires pour nicher et se nourrir.

Migration : C'est un migrateur partiel et un migrateur à courte distance (migration altitudinale). Les populations alpines et jurassiennes descendent vers le sud de l'Europe ou les zones plus basses en hiver. Le fait que sa présence hivernale soit quasi nulle dans votre vallée est une conséquence directe de la baisse des nicheurs et de son comportement migratoire.

Statut de protection :
Zone Catégorie de Menace (selon l'UICN)
Monde / Europe Préoccupation mineure (LC)
Suisse (Liste Rouge) Potentiellement menacé (NT - Near Threatened)

Exporter vers Sheets
Il est donc intégré aux espèces menacées en Suisse, ce qui justifie des mesures de conservation spécifiques, notamment le maintien d'une gestion sylvo-pastorale extensive pour conserver les milieux ouverts et parsemés qu'il affectionne.